
Syndrome métabolique et traitement naturel
Le syndrome métabolique a été très à la mode il y a une dizaine d’années puis on en est revenu. Pourquoi un tel engouement et quelle est la raison de ce revirement ? Les critères du syndrome métabolique (ou polymétabolique dont l’acronyme est SPM qu’il ne faut pas confondre avec le syndrome prémenstruel) n’ont jamais fait l’unanimité et les scientifiques ont fini par abandonner le concept. Surtout qu’il y avait 2 écoles qui s’opposaient, les cardiologues d’un côté et les diabétologues de l’autre. Pourtant, la notion de syndrome métabolique nous a toujours paru intéressante à nous qui nous passionnons pour une médecine globale, intégrative et naturelle…
Syndrome métabolique et traitement naturel font-ils bon ménage ? Nous vous apportons quelques éléments de réponse dans cet article. Mais avant cela, tentons ensemble de mieux comprendre cette notion.
L’utilité du syndrome métabolique et des traitements naturels
Nous pensons que la notion de syndrome métabolique peut être utilisée car c’est une merveilleuse façon de dépister des personnes à risque de maladies cardio-vasculaires ou de diabète. Et ce dépistage, bien avant l’installation d’une vraie maladie, n’est pas toujours intéressant pour des médecins car cela ne peut pas justifier l’emploi de médicaments chimiques puissants.
Mais pour les médecines naturelles, l’utilisation du concept de SPM permet de mettre en place une hygiène de vie adaptée et de prendre éventuellement des traitements naturels, bien avant qu’une pathologie soit définitivement installée, et ainsi retarder l’apparition de cette dernière voire l’éviter tout simplement !
Quels sont les critères du syndrome polymétabolique ?
Les critères du syndrome polymétabolique sont au nombre de cinq. Le principe est qu’il faut au moins trois critères en dehors des normes ci-dessous pour être « étiqueté » syndrome métabolique.
Le tour de taille
Les valeurs seuils varient entre les cardiologues et les diabétologues et nous vous proposons de retenir des valeurs simples : la norme est d’être au maximum à 90 cm chez la femme et 100 cm chez l’homme.
La Tension Artérielle (TA)
Là, tout le monde est d’accord pour dire que la normalité est : TA systolique inférieur à 130 et TA diastolique inférieur à 85. Ce critère est également considéré comme présent si la personne prend un traitement médicamenteux pour contrôler sa tension.
Les triglycérides
La norme des triglycérides est d’être inférieure à 1,5 g/L.
Le cholestérol HDL
Le cholestérol HDL (appelé parfois le “bon cholestérol”) est le seul critère positif. Cela veut dire que ce critère sera considéré comme anormal (ou présent) si le HDL est inférieur à 0,4 g/L chez l’homme et 0,5 g/L chez la femme.
La glycémie
La glycémie est l’autre critère qui oppose cardiologues et diabétologues. On retiendra que la norme est d’avoir une glycémie inférieure à 1,1 g/L.
Donc si une personne a trois critères au moins en dehors de ces normes, elle présente alors un SPM. Cela signifie qu’elle a un risque augmenté de développer une maladie cardio-vasculaire dans les 10 ans et qu’elle multiplie par deux le risque d’avoir un infarctus ou de décéder de maladie cardio-vasculaire par rapport à une personne sans SPM.
Rappelez-vous : si on prend chaque critère ci-dessus individuellement, il n’est pas considéré comme anormal et encore moins pathologique.
Appréhender le syndrome métabolique avec un traitement naturel
C’est quand on est capable de dépister très précocement un tel risque grâce à la conjonction de plusieurs critères que des approches naturelles permettent de réduire le risque de maladie. N’hésitez pas à en parler à votre médecin et faites-vous dépister afin de mettre en place une stratégie de prévention d’autant plus efficace qu’elle sera précoce.

SPM et hygiène de vie
Tout passe avant tout par les règles d’hygiène de vie et les approches naturelles. Ce qui peut expliquer que les allopathes aient un peu abandonné ces notions… Pour ce faire, il est nécessaire de corriger son alimentation avec plusieurs buts en tête :
- Contrôler son poids voire perdre quelques kilos quand cela est nécessaire. C’est une des meilleures façons de réduire le tour de taille.
- Réduire drastiquement la consommation de glucides et d’alcool, ce qui permet d’agir sur le poids mais aussi et surtout sur les triglycérides et la glycémie.
- Consommer des légumes et fruits riches en antioxydants sans faire d’excès de fruits riches en sucres et s’orienter vers une alimentation de type méditerranéenne.
- Consommer des oméga-3 essentiels pour la prévention cardio-vasculaire et la réduction du risque lié aux triglycérides.
- Consommer du cholestérol le matin et faire des diners végétariens afin d’avoir un meilleur équilibre entre le HDL et le LDL cholestérol.
- Réduire la consommation de sel pour limiter le risque d’hypertension.
- Augmenter son activité physique qui est l’autre méthode pour contrôler son poids et réduire son tour de taille.
- Réduire ou arrêter le tabac s’il existe un tabagisme.
- Utiliser des compléments alimentaires et des plantes en fonction de ses besoins spécifiques et de son équilibre alimentaire.
La solution PhytoQuant pour associer syndrome métabolique et traitement naturel
Depuis la création de notre société, nous avons voulu proposer des compléments alimentaires pour aider nos clients à agir sur une des premières causes de mortalité : les maladies cardio-vasculaires. C’est pourquoi notre gamme est riche en produits pouvant être utilisés en cas de SPM.
En soignant le syndrome métabolique par un traitement naturel, nous donnons à notre organisme tous les nutriments nécessaires à une bonne santé. Parmi les compléments alimentaires recommandés dans le cadre d’un SPM, on retrouve :
- Les solutions riches en Omega-3 naturels dont le rôle est de réduire les risques cardio-vasculaires.
- Les complexes à base d’antioxydants et flavonoïdes qui interviennent également dans la prévention des maladies cardio-vasculaires.
- Les compléments alimentaires naturels servant à rééquilibrer le bon et le mauvais cholestérol dans l’organisme.
- Si nécessaire, il est également possible de compléter avec un traitement drainant à base de plantes détoxifiantes.
- Enfin, le traitement naturel idéal pour anticiper un syndrome métabolique est une formule qui aide à contrôler la glycémie.

Découvrez Quantaglycémic, une solution pour traiter le syndrome métabolique naturellement
Quantglycémic est un complexe de plantes qui agissent en synergie pour réduire la glycémie. La formule de ce nouveau produit est la suivante (pour 2 gélules) :
- Lupin poudre de graine : 410 mg
- Garcinia cambogia extrait sec de fruit : 123 mg (dont Acide hydroxycitrique : 73 mg)
- Galéga extrait sec de sommité : 120 mg
- Margose extrait sec de fruit : 82 mg
- Cannelle poudre d’écorce : 82 mg
- Chrome : 250 µg
Les actions de ce traitement naturel pour faire face au syndrome métabolique
- Le Chrome est l’oligoélément qui permet un meilleur fonctionnement du pancréas et une meilleure réaction à l’insuline1.
- Le Garcinia est probablement, grâce à sa teneur en hydroxycitrate, la plante la plus efficace sur la régulation de la glycémie. Elle est bien plus efficace sur ce critère que sur le poids contrairement à ce qu’essaye de faire croire certains distributeurs. Elle reste tout de même une des principales plantes du syndrome métabolique car elle s’oppose au stockage des graisses et va donc aider à maintenir un tour de taille normal2.
- Le Lupin est utilisé traditionnellement dans de nombreux pays pour contrôler la glycémie. On a démontré récemment que cette action était liée en particulier à une molécule présente en abondance, la « gamma-conglutine »3.
- La Margose ou momordique est moins connue et pourtant plusieurs travaux ont montré qu’elle permettait de réduire la glycémie chez les diabétiques4.
- La Galéga est également une plante moins usitée. Elle présente des propriétés antidiabétiques bien établies, surtout quand elle s’accompagne de surpoids5.
- La Cannelle possède de nombreuses propriétés. Elle est en particulier antidiabétique et permet de faire baisser la glycémie et l’hémoglobine glyquée6.
Quantaglycémic est donc une synergie naturelle qui sera utilisée aussi bien en cas de diabète débutant que de syndrome métabolique, afin d’aider les personnes à contrôler leur glycémie dans le cadre d’une démarche diététique personnalisée.

La posologie de Quantaglycémic
La posologie de Quantaglycémic est simple :
- 1 gélule le midi et le soir avant le repas.
- Si la prise du midi est oubliée, on pourra prendre les 2 gélules le soir.
- En cas de résultat insuffisant, si les règles diététiques sont bien suivies, il sera possible de prendre une 3ème gélule le matin.
Voilà de quoi mettre en place une démarche de prévention si vous êtes concerné par ce syndrome métabolique ou si vous présentez un pré-diabète bien avant d’être réellement malade voire de faire un accident cardio-vasculaire laissant toujours des séquelles bien handicapantes.

Sources :
1 Article sur le Chrome de Passeport santé
2 Page Wikiphyto sur le Garcinia
3 Nutrition, Metabolism & Cardiovascular Diseases
4 Article sur le Momordique de Passeport santé
5 Page Wikiphyto sur la Galéga
6 National Library of medecine : Khan A, Safdar M, Ali Khan MM, Khattak KN, Anderson RA. Cinnamon improves glucose and lipids of people with type 2 diabetes. Diabetes Care. 2003 Dec;26(12):3215-8.


Retour en images sur la visite du Prince Albert II chez PhytoQuant
Chers lecteurs,
Nous sommes fiers et heureux de partager avec vous, une nouvelle tout aussi exceptionnelle qu’émouvante. Après sa première visite de nos locaux PhytoQuant à Monaco, nous avons eu le grand honneur de recevoir de nouveau S.A.S le Prince Albert II de Monaco et son équipe dans notre unité de production au cœur de la région Reggio Emilia en Italie.

A la découverte de l’univers PhytoQuant…
Un programme riche en découvertes : l’univers PhytoQuant, la fabrication de nos compléments alimentaires et soins cosmétiques Solavie.
Nous avons eu le plaisir de vivre ensemble un moment magique de partage en toute simplicité, en présence de Nicola Frassanito, fondateur de PhytoQuant, de notre partenaire italien et de nos collaborateurs respectifs.

Nos remerciements
Nous remercions le Prince de sa visite, son équipe, la police d’Etat, les carabiniers de Monaco et toutes les personnes impliquées dans l’organisation de cet évènement. Nous tenons également à remercier chaleureusement notre partenaire italien, sa famille et son personnel pour la préparation de ce séjour. Et bien évidemment nous remercions également nos fidèles clients sans qui l’aventure PhytoQuant ne serait pas possible.

Nicola Frassanito

La maladie de Lyme ou Maladie Vectorielle à Tiques ?
La maladie de Lyme est devenue la maladie à la mode ces dernières années et beaucoup de personnes consultent en craignant avoir cette maladie. Il faut dire que ses symptômes sont très polymorphes et que son diagnostic clinique n’est pas simple. La complexité de la situation ne s’arrête pas là ! La maladie de Lyme est due à une bactérie particulière, la borrelia. Elle est transmise essentiellement par les tiques. Une transmission par d’autres insectes est possible, mais rare et on observe aussi une transmission de la mère à l’enfant pendant la grossesse (transmission materno-fœtale).
Mais les tiques, lorsqu’elles mordent, peuvent injecter plusieurs germes différents en plus de la borrelia. Tous ces germes ne sont pas forcément pathogènes, mais certains le sont tout autant que la borrelia. On parle alors de co-infections et parfois, ces autres microbes donnent bien plus de symptômes que la borellia elle-même, entrainant des troubles différents de ceux de la maladie de Lyme. C’est pourquoi aujourd’hui on parle plutôt de « Maladie Vectorielle à Tiques » (MVT) et pour parler des symptômes on préfère ne plus utiliser le terme de maladie de Lyme qui est très réducteur. Les spécialistes vont utiliser les acronymes « SIMS » pour Syndrome Infectieux Multi-Systémique ou « SPPT » pour Syndrome Polymorphe Persistant après morsure de Tiques. On parle aussi d’IFC pour Infection Froides Chroniques car il s’agit bien d’infections chroniques sans fièvre.
Le Pr Luc Montagnier, prix Nobel 2008 pour sa découverte du virus HIV et grand spécialiste des IFC a proposé récemment une autre dénomination : le « Syndrome évolutif associé à des infections intracellulaires chroniques ». Cela montre bien la complexité du problème.
On comprend alors pourquoi ces maladies font couler autant d’encre et pourquoi les spécialistes ont du mal à s’entendre sur un diagnostic. Toujours est-il que ces infections froides chroniques sont en pleine évolution. En particulier à cause du réchauffement climatique qui voit les tiques proliférer, mais ce n’est certainement pas la seule.

Maladie de Lyme : des traitements longs et complexes
Le traitement des Infections Froides Chroniques et en particulier des Borrelia fait appel essentiellement aux antibiotiques. L’aromathérapie est aussi utilisée, mais avec des résultats plus lents et incertains.
En cas de piqure récente, il est recommandé de consulter un médecin spécialisé qui prescrira si nécessaire un traitement antibiotique à forte dose pendant 2 à 3 semaines. Pour plus d’informations sur les piqures de tiques et les conduites à tenir pour la prévention et le traitement, consultez le site de la Fédération Française contre les Maladies Vectorielles à Tiques (FFMVT) ou le Relais de Lyme.
Si le traitement de la piqure récente est simple et relativement court, il n’en est pas de même pour les formes anciennes et chroniques d’IFC. Dans ces cas, les traitements antibiotiques peuvent se faire par cures répétées pendant 1 à 2 ans et parfois plus.
Certains spécialistes contestent la réalité de ces infections froides chroniques et déconseillent des traitements antibiotiques de longue durée. Pour autant ils n’ont rien à proposer face à ces symptômes complexes et très handicapants. Par ailleurs, les médecins généralistes sont mal formés à la maladie de Lyme et ses co-infections et les bilans biologiques pour le dépistage et le diagnostic de ces maladies manquent cruellement de fiabilité et de sensibilité.
C’est pourquoi aujourd’hui, de nombreux malades sont en errance diagnostique. Ils constatent que leurs symptômes ressemblent à ceux d’une maladie de Lyme chronique ou bien à une autre infection froide, mais aucun médecin ne peut ou ne veut en faire le diagnostic. On leur dit que c’est dans la tête ou bien on multiplie les examens pour trouver autre chose. Et comme on ne trouve rien, on en revient à la première hypothèse : fibromyalgie, hystérie, dépression ou autre diagnostic impliquant forcément leur équilibre émotionnel.
La FFMVT œuvre, sous l’impulsion du Pr Christian PERRONNE, pour faire reconnaitre ces IFC ou SPPT et relancer des études pour mieux identifier les malades et obtenir des tests plus fiables. Les choses avancent, mais à ce jour, la Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française, la référence « officielle » en la matière, refuse toujours de connaitre ces maladies et les patients restent sans diagnostic ni traitement.
Quelle place pour les médecines naturelles ?
Vouloir traiter des IFC avec des approches exclusivement naturelles parait utopique et peu réaliste. Certains traitements homéopathiques très spécifiques et l’aromathérapie ont une place importante, mais trop souvent insuffisante ou tout au moins aléatoire.
Malgré tout, une approche globale est importante, car il faut savoir que toutes les personnes piquées par des tiques et ayant été en contact avec la Borrelia ne développent pas forcément de pathologies chroniques même en l’absence de traitement.
Il existe donc des facteurs favorisants, un terrain qui va augmenter le risque d’infection chronique. Comme toujours, ce terrain est dû à plusieurs éléments dont les principaux sont :
- La flore et la muqueuse intestinale ainsi que des intolérances alimentaires
- L’équilibre du système immunitaire
- Des infections préexistantes et en particulier les dysbioses (déséquilibre de la flore et pullulation microbienne intestinale) et les candidoses intestinales (champignons), mais aussi certains virus comme l’EBV (virus de la mononucléose)
- Des intoxications aux métaux lourds
- Des carences nutritionnelles
Et c’est là où les approches naturelles ont toute leur place ainsi que dans l’accompagnement des antibiothérapies itératives.
Mieux gérer l’accompagnement des antibiothérapies avec PhytoQuant
Il faut savoir que les traitements antibiotiques en cas de MVT se feront par cure mensuelle de 7 à 15 jours en moyenne. On y associera souvent des antifongiques allopathiques à cause du risque de candidoses. Dans ce cas, voici comment se positionne la gamme de compléments alimentaires PhytoQuant en accompagnement de ces traitements très agressifs, mais souvent incontournables :
- Quantaflore pour protéger et refaire la flore intestinale.
- Quantaphylle pour son action de protection de la muqueuse, mais aussi son effet préventif sur le développement des mycoses intestinales.
- Quantavillosi pour son action sur les dysbioses.
- QuantaGluta pour son action de réparation de la muqueuse intestinale.
- QuantaEPP pour son action sur les dysbioses et surtout les candidoses.
- Quantasmodium+ pour protéger le foie pendant les traitements chimiques.
- QuantaDpur pour drainer l’organisme après les traitements antibiotiques.
Pour conclure, les médecines naturelles sont souvent insuffisantes pour traiter la maladie de Lyme et ses co-infections, mais pour autant les compléments alimentaires ont une place de choix dans ces maladies chroniques.
Que ce soit pour l’accompagnement des traitements allopathiques ou la prise en charge du terrain, les compléments alimentaires ont toute leur place dans ces MVT.
Et si, avec le printemps, vous envisagez de multiplier vos balades en forêt, n’oubliez pas que les tiques sont à l’affut et que vous devez prendre vos précautions. Consultez les sites précédemment cités pour connaitre toutes les solutions efficaces.


Arthrose ou arthrite : comment faire la différence ?
Il existe 2 grands types de maladies rhumatismales : d’un côté l’arthrite ou plutôt les arthrites, souvent d’origine auto-immune, et de l’autre l’arthrose. L’arthrite nécessite une prise en charge globale et complexe afin d’agir sur les multiples causes. Mais au final, l’arthrite va également donner de l’arthrose. Lorsque l’on souffre des deux, il devient difficile de différencier les symptômes. Arthrose ou arthrite, quelle que soit la pathologie rhumatismale dont vous souffrez, il est toujours important d’agir sur la dégénérescence articulaire.
Arthrose ou Arthrite : Apprendre à reconnaître les signes
Au début de la pathologie, il n’est pas très difficile de les différencier.
- L’arthrite entraine toujours la triade bien connue des médecins depuis des siècles : « dolor, rubor, tumor » qui se traduit par douleurs, rougeur (et par extension chaleur) et gonflement. Un autre symptôme essentiel de l’arthrite est la douleur au repos donc souvent nocturne !
- Dans la douleur arthrosique, il y a rarement ces symptômes inflammatoires. Et surtout, la douleur est, au contraire, améliorée par le repos et rarement nocturne. Car l’arthrose c’est de l’usure et à cause du manque de cartilage ou de la présence de becs-de-perroquet, l’articulation fait mal quand on s’en sert. A l’inverse de l’arthrite qui fait mal au dérouillage, mais peut s’atténuer lors d’un effort régulier, quand le corps est « chaud ».
La distinction entre arthrose ou arthrite est donc à priori simple à faire. Cependant, une arthrite qui s’installe et dure des mois va finir par abîmer l’articulation et laissera des séquelles d’arthrose. Inversement, une arthrose avancée peut, surtout suite à des efforts excessifs, se compliquer d’une poussée inflammatoire avec rougeur, chaleur et gonflement.
Pour simplifier les choses, la distinction entre arthrose et arthrite se fait au niveau des symptômes et du moment d’apparition de la douleur :
- Une arthrite : douleur au dérouillage et au repos avec rougeur et chaleur
- Une arthrose : douleur à l’usage et calmée au repos sans rougeur ni chaleur

Arthrose, attention à l’usure définitive
Arthrose ou arthrite, les conséquences sont finalement similaires puisqu’elles entraînent de nombreuses douleurs, parfois très pesantes pour celles et ceux qui en souffrent. L’arthrose est une affection qui touche l’ensemble de l’articulation, mais elle est avant tout définie par l’usure du cartilage qui entraine une impotence fonctionnelle de plus en plus importante et donc un handicap quotidien qui peut devenir très invalidant. L’objectif est donc de tout faire pour protéger ce cartilage et tenter de limiter sa destruction, car on sait que ce tissu peu vascularisé est incapable de se réparer.
Les produits naturels efficaces contre les affections rhumatismales
Arthrose ou arthrite : Comment limiter la détérioration du cartilage ?
Plusieurs produits naturels ont montré leur action sur la dégradation du cartilage et la prise en charge de l’arthrose :
- La chondroïtine1-2
- La glucosamine3-4
- La silice
Pour les 2 premiers ingrédients, il existe de multiples études qui prouvent leur efficacité5. Il est dommage que la silice ne soit pas aussi bien étudiée même s’il existe des preuves suffisamment tangibles de son efficacité.
L’utilisation de ces molécules peut permettre de limiter l’usure du cartilage et retarder ainsi ce handicap douloureux qu’est l’arthrose.
L’action du curcuma en traitement de fond contre l’arthrose ou l’arthrite
La grande quantité de poudre de curcuma a une action antioxydante complémentaire des vitamines C et E et du manganèse. Elle joue ici un rôle de protection et favorise l’action anti-dégénérative grâce à ces antioxydants.

Soulager les douleurs avec des huiles essentielles
Arthrose ou arthrite, lorsque les douleurs rhumatismales sont installées, on peut les soulager à l’aide de massages sur les zones sensibles. Pour cela, certaines huiles essentielles ont une visée apaisante reconnue :
- L’huile de millepertuis soulage les douleurs articulaires
- L’huile de Gaultherie a une action antiinflammatoire intéressante qui s’ajoute à ses vertus antirhumatismales
En complément, on peut se tourner vers des plantes aux actions antiinflammatoires à consommer sous forme de compléments alimentaires :
- L’harpagophytum agit sur les douleurs de rhumatisme
- Le gingembre, le clou de girofle et la reine-des-prés apaisent les inflammations
Arthrose ou arthrite : découvrez Quantavie+, la solution naturelle signée PhytoQuant
Vous connaissez peut-être Quantavie, un de nos premiers produits, qui avait bénéficié il y a une dizaine d’années d’un recueil de données auprès de 3000 utilisateurs et qui avait montré une amélioration des douleurs chez plus des 3/4 des personnes interrogées.
Les connaissances, mais aussi la législation évoluant, nous avons voulu moderniser cette formule afin d’améliorer encore les résultats.

Quantavie+ (n’oubliez pas ce petit « + » !) apporte aujourd’hui dans 1 petit stick pour prise unique :
- 1000 mg de Glucosamine
- 696 mg de sulfate de Chondroïtine
- 77 mg de silice
Mais Quantavie+ c’est un peu plus que ça puisque la formule contient aussi :
- 3400 mg de curcuma titré en curcumine – soit 68 mg de curcumine
- 200 mg de Piper nigrum pour optimiser l’utilisation du curcuma
- 240 mg de vitamine C et 30 mg de vitamine E
- 3.5 mg de Glycérophosphate de Manganèse
Ce cocktail de plantes et vitamines apporte donc la plupart des ingrédients naturels et des antioxydants nécessaires à la protection des articulations.

Sources :
- Richy F, Bruyere O, et al. Structural and symptomatic efficacy of glucosamine and chondroitin in knee osteoarthritis: a comprehensive meta-analysis. Arch Intern Med. 2003 Jul 14;163(13):1514-22. Texte intégral : archinte.ama-assn.org
- Altman RD, et al. « Osteoarthritis Cartilage » 2004;12:515-524 Clinical review of chondroitin sulfate in osteoarthritis. Uebelhart D. Osteoarthritis Cartilage. 2008;16 Suppl 3:S19-21. Review.
- Herrero-Beaumont G et coll. : «Glucosamine sulfate in the treatment of knee osteoarthritis symptoms: A randomized, double-blind, placebo-controlled study using acetaminophen as a side comparator.” Arthritis & Rheumatism 2007 ; 56 : 556-567.
- Reginster JY, Deroisy R, Rovati LC, et al. Long-term effects of glucosamine sulphate on osteoarthritis progression: a randomised, placebo-controlled clinical trial.Lancet 2001 Jan 27;357(9252):251-6. Pavelka K, Gatterova J, Olejarova M, Machacek S, Giacovelli G, Rovati LC. Glucosamine sulfate use and delay of progression of knee osteoarthritis: a 3-year, randomized, placebo-controlled, double-blind study.Arch Intern Med 2002 Oct 14;162(18):2113-23.
- Glucosamine and chondroitin sulfate may be useful for patients with moderate to severe pain from knee osteoarthritis, communiqué de presse, American College of Rheumatology, 2005. [Consulté le 27 novembre 2005]. www.rheumatology.org

Les 5 meilleures plantes drainantes pour une détox réussie
Le printemps arrive. C’est le moment idéal pour se débarrasser des toxines, des excès, des surcharges accumulés au cours de l’automne et de l’hiver. Pour cela, cure détox et plantes drainantes sont de rigueur ! On appelle « émonctoires » les organes chargés d’éliminer les déchets produits dans notre organisme. Ce sont principalement : le foie et la vésicule biliaire, le rein, la peau et les poumons. Ces derniers, éliminent, avec le gaz carbonique expiré, les acides gras volatiles et les alcools de fermentation en provenance de l’intestin. La peau rejette des déchets à travers la sueur et via le sébum. Les reins filtrent le sang et éliminent les déchets dans l’urine. Mais l’organe clé de la détoxification est le foie dont le rôle est, entre autres, de filtrer le sang, de neutraliser les toxines et de les éliminer via la bile.
Donc, pour un drainage efficace, il faut stimuler ces émonctoires. Par exemple, pratiquer du sport augmente la fréquence respiratoire ce qui permet d’évacuer plus de déchets volatiles et de mucosités. De même, cela fait transpirer et avec la sueur partent autant de toxines. Boire beaucoup d’eau stimule l’élimination rénale, bien sûr, mais aussi l’élimination par le foie, la bile et les intestins. Bref : bougez, éliminez est un conseil de bon sens ! Il existe également bien des techniques utilisées par les naturopathes ou les ostéopathes qui favorisent le drainage des émonctoires (bains chauds, diètes spécifiques, massages, exercices respiratoires…).
Mais on peut aussi activer le nettoyage de l’organisme grâce aux plantes drainantes. On vous explique tout dans cet article !
Les plantes drainantes pour soulager les émonctoires
- Parmi les principales plantes drainantes qui ont montré une action sur le foie et la vésicule biliaire, on trouve : le radis noir, le chardon Marie, le romarin, l’artichaut, le boldo, la chicorée sauvage, la fumeterre, le pissenlit.
- Les principales plantes ayant une action sur les reins sont : la verge d’or, la reine-des-prés, le chiendent, l’aubier de tilleul, le pissenlit, l’orthosiphon, le romarin, la bruyère, la piloselle, la prêle, les queues de cerises…
- En ce qui concerne les voies respiratoires, on a le choix entre : le thym, le serpolet, le pin sylvestre, la pulmonaire, l’eucalyptus, le radis noir, le plantain, le marrube blanc, le bouillon-blanc, l’hysope, le bleuet, l’origan.
- Pour ouvrir la peau et éliminer les toxines, les plantes usuellement utilisées sont : la bardane, la pensée sauvage, la bourrache, l’ortie, la camomille et le pissenlit.

Le top 5 des meilleures plantes drainantes
Pour votre grand nettoyage de printemps PhytoQuant a choisi et combiné cinq de ces plantes pour agir sur tous les organes drainants :
- Le Pissenlit est une plante drainante très connue que nos grands-mères intégraient dans les salades de printemps. Traditionnellement, la plante est connue pour fluidifier la bile (et favoriser ainsi l’évacuation des déchets du foie) pour favoriser l’élimination urinaire (diurétique). C’est donc un grand dépuratif de nos régions. D’autant qu’il a également une action sur la peau.
- Le Radis noir, à l’instar du pissenlit, est une plante utilisée depuis fort longtemps pour son usage à la fois culinaire et médicinal. Car, si le radis noir est diurétique, mais c’est surtout son action hépatobiliaire qui est connue. Il stimule la sécrétion biliaire et provoque une contraction de la vésicule entraînant l’élimination des déchets. Cette action sur la vésicule biliaire est si puissante qu’il est contre indiqué de consommer du radis noir en cas de calcul biliaire ! Sinon gare à la crise de colique hépatique !
- L’Orthosiphon est une plante du sud est asiatique où elle traditionnellement utilisée comme diurétique. En Europe, l’orthosiphon est également employé pour faciliter les fonctions d’élimination essentiellement rénales. Mais il est aussi conseillé comme adjuvant dans la prise en charge des surcharges pondérales.
- La Bardane est une plante commune de nos régions. La racine de bardane est utilisée par voie orale en phytothérapie dans le drainage cutané mais aussi dans le traitement de diverses affections cutanées telles que l’acné juvénile.
- Le Romarin est encore une de ces plantes drainantes qui ont traditionnellement leur place dans la cuisine et dans la pharmacie familiale quand il s’agit de faciliter le drainage rénal et hépatique (foie).

QuantaDpur+, un complexe riche en plantes détox signé PhytoQuant
QuantaDpur+ est une association synergique de ces cinq plantes drainantes, sous forme liquide, idéale pour accompagner votre cure détox ou votre cure minceur.
QuantaDpur+ est très puissant et très fortement concentré : un seul stick liquide par jour (10ml), à diluer dans un verre d’eau ou encore mieux dans une petite bouteille d’eau minérale à boire tout au long de la journée, correspond à 5 grammes de plantes drainantes : soit l’équivalent de plus de 12 gélules d’extraits secs de ces plantes !
Une boite de 30 sachets unidose couvre donc 1 mois de cure intensive.

Un dernier mot : pensez à votre hygiène intestinale !
Les intestins ont une fonction fondamentale dans l’élimination, car ils collectent tous les déchets provenant du travail des autres organes de la sphère digestive (le foie, le pancréas, la vésicule biliaire). Ces déchets sont évacués dans les selles via le côlon. Si le colon n’est pas parfaitement intègre et fonctionnel, ce travail d’élimination ne se produit pas bien. Lors de leur passage dans les intestins, les toxines et déchets peuvent être réintroduits dans l’organisme ou encore fermenter ou putréfier, ce qui contribue encore à votre encrassement. Il est donc important d’assainir le tube digestif, de maintenir une flore active, et une paroi intestinale totalement imperméable. Pour cela, l’association des probiotiques, de la Chlorophylle et de l’ortie a fait ses preuves. Si vous souhaitez en savoir plus sur le sujet, n’hésitez pas à contacter nos équipes !


Des solutions naturelles pour réduire les troubles digestifs
Un adulte sur quatre souffre de troubles digestifs dits fonctionnels. Cela signifie qu’ils ne sont pas dus à une maladie mais qu’ils sont plutôt le signe d’une altération de la fonction digestive ou d’une intolérance alimentaire. Ceci se manifeste par : une sensation de poids sur l’estomac après les repas, des brûlures gastriques occasionnelles, des lenteurs à la digestion, des ballonnements, des flatulences, de la constipation… Autant de troubles digestifs qui nous gâchent souvent la vie au quotidien.
Bien évidemment, la cause première de ces inconforts est notre mode de vie trépidant. Finie l’époque où on bénéficiait de deux heures pour déjeuner. Désormais, lors de la pause de midi : on mange sur le pouce, vite fait et on ne mastique pas assez. Or, la mastication est capitale pour l’assimilation des nutriments car la digestion ne commence pas dans l’estomac mais dans la bouche grâce aux enzymes digestives de la salive. Plus les aliments sont longuement mastiqués, plus le travail de l’estomac est facilité, et plus l’intestin grêle va assimiler les nutriments. Un défaut de mastication va entraîner des troubles digestifs, des carences nutritionnelles et une prise de poids. Car, mastiquer longuement induit une sensation de satiété, ce qui conduit à manger moins.
Mais le mode de vie n’explique pas tout. On s’en rend compte au fil des ans. Plus le temps passe, plus on a de mal à bien digérer. Ceci parce que, avec l’âge, notre production d’enzymes digestives s’amenuise ce qui rend notre digestion imparfaite. Les enzymes digestives sont produites dans les glandes salivaires, l’estomac, les intestins, le foie et la vésicule biliaire, mais surtout par le pancréas. Elles ont pour fonction de découper les aliments en nutriments dont le corps a besoin. Une supplémentation en enzymes digestives s’avère le moyen le plus efficace de lutter contre les troubles digestifs fonctionnels.

Nos conseils pratiques pour soulager les troubles digestifs
Face à ces dysfonctionnements digestifs, nous vous conseillons de :
- Manger lentement et de bien mastiquer.
- Réduire l’apport calorique, surtout les sucres rapides.
- Conserver un peu de fruits hors des repas, des légumes blanchis pour éliminer les sucres solubles (très mal absorbés et provoquant des fermentations). Les fruits et légumes seront préférés cuits et moulinés pour être plus digestes.
- Consommer des oméga3 en quantité augmentée.
- Et surtout, vous supplémenter en enzymes digestives avec des compléments alimentaires riches en enzymes (Papaïne, Bromélaïne, Trypsine, Chymotrypsine, Alpha-galactosidase) ; en flavonoïdes d’origine végétale (les Bioflavonoïdes d’agrumes, la Quercétine de sophora du japon & les OPC de pepin de raisin) qui complètent et renforcent l’action du complexe enzymatique.
Les plantes connues pour agir sur les affections digestives
Si les enzymes présentes dans les plantes ont le pouvoir de soulager les troubles digestifs, on trouve dans la nature d’autres végétaux aux actions similaires. Pour agir sur les douleurs gastriques et intestinales, les spasmes, les ballonnements et les fermentations, les irritations de l’intestin, certaines plantes ont fait leur preuve. Il s’agit du Curcuma, de la cannelle, du gingembre, du girofle, de l’origan et du thym.

Troubles digestifs : quels compléments alimentaires choisir ?
Puisque les troubles digestifs sont monnaie courant, notre laboratoire a développé deux compléments alimentaires aux actions apaisantes :
- Quantazym est une combinaison d’enzymes digestives et de flavonoïdes qui intervient pour faciliter la digestion.
- Quantabiose réunit tous les végétaux nécessaires en un comprimé pour apaiser les troubles digestifs, qu’ils soient fonctionnels, comme vu précédemment, ou encore dus à une dysbiose.
Les dysbioses sont des déséquilibres de la flore intestinale qui se manifestent au niveau digestif par des ballonnements, gaz, fermentations intestinales, des spasmes intestinaux, des diarrhées infectieuses, des inflammations de l’intestin grêle ou du colon…
Au global, Quantabiose sera utile en cas de troubles digestifs :
- Douleurs gastriques, gastrites, nausées ou lourdeurs après le repas, digestion lente (ensemble de symptômes regroupés sous la terminologie de « dyspepsie1 »),
- Fermentations, ballonnements, flatulences, crampes ou spasmes abdominaux, constipation…
- Infections intestinales accompagnées ou non de diarrhées
- Déséquilibre de la flore intestinale (dysbiose).
- Coliques, Colites, syndrome du côlon irritable, sigmoïdites, diverticulites…
Chacun des ingrédients contribue à l’intérêt de Quantabiose qui possèdent des vertus :
- Antiinfectieuses par la cannelle, le clou de girofle, l’origan et le thym,
- Antiinflammatoires par le curcuma & le gingembre,
- Antalgiques par le clou de girofle,
- Antispasmodiques via le clou de girofle, le thym & l’origan,
- Et enfin, Anti-dyspepsiques par l’ensemble : curcuma, cannelle, girofle thym, origan & gingembre.
Alors qu’on prendra sa gélule de Quantazym au cours des repas, on y associera Quantabiose à la fin des 2 principaux repas (1 gélule à midi et une le soir).

1 boite de Quantazym
+
1 boite de Quantabiose
soit 1 mois de cure
1 Le saviez-vous ? C’est de ce mot « dyspepsie » que vient le nom Pepsi-Cola, boisson qui, à l’origine, était un médicament destiné à lutter contre les problèmes de digestion.


Soins anti-âge au colostrum : une alternative naturelle à l’acide hyaluronique
Argument de vente imparable, l’acide hyaluronique est un composant phare des produits cosmétiques anti-âge. Quel est son rôle ? Comment agit-il ? Et comment booster sa production ? Nombre de laboratoires se sont intéressés à ces questions pour tenter d’élaborer la formule miracle permettant de ralentir les signes de vieillesse sur la peau. Les molécules de collagène et d’acide hyaluronique de synthèse ont alors massivement investi la composition de nos soins, dans l’objectif de redonner à la peau toute sa souplesse d’antan. Bien qu’efficaces, ces solutions ne sont pas sans risque pour la santé. Aussi, en substitution à ces procédés chimiques, Solavie vous invite à privilégier des alternatives naturelles à l’acide hyaluronique. En puisant dans l’énergie des plantes de quoi combler nos besoins, nous agissons aussi en faveur d’un équilibre bien plus respectueux pour notre organisme. Véritable concentré de vie, la gamme de soins Solavie a une composition 100 % naturelle qui agit efficacement sur l’éclat de la peau tout en veillant au maintien de sa santé. Une efficacité renforcée par un composant aux vertus puissantes qui stimule de façon naturelle la production d’acide hyaluronique sans ajout de synthèse !
Acide hyaluronique : Quèsaco ?
Depuis quelques années, l’acide hyaluronique s’invite dans la composition de nos crèmes hydratantes, sérums et autres soins pour la peau. Nous y avons recours en médecine esthétique et nous pouvons également le consommer sous forme de compléments alimentaires. En bref, l’acide hyaluronique est partout. En 2012, son marché en pharmacie est estimé à pas moins de 135 millions d’euros…
Plus concrètement, l’acide hyaluronique est une macro-molécule naturellement présente dans notre organisme. Il se répartit dans les différents tissus conjonctifs et notamment dans les articulations, le cartilage et la peau. Il joue un rôle fondamental dans l’hydratation, la cicatrisation et la souplesse des tissus. Essentiel au bon fonctionnement de la matrice cellulaire, il a des actions anti-inflammatoires et anti-oxydantes très importantes.
Un remède qui fait ses preuves en médecine

Mondialement connu pour ses propriétés anti-âge, l’acide hyaluronique possède de nombreuses vertus méconnues. Initialement exploité en chirurgie ophtalmique dès les années 1970, la médecine se saisit ensuite de son puissant pouvoir hydratant et repulpant pour l’appliquer à d’autres domaines comme ceux de la chirurgie esthétique ou de la dermatologie. Sous forme d’injections cutanées, de gélules ou de crèmes, l’acide hyaluronique s’impose désormais comme le remède miracle pour lutter contre les marques de l’âge. Si cet argument ne suffit pas à démontrer sa nécessité pour l’organisme, des études scientifiques ont néanmoins prouvé ses bienfaits dans différents champs de la médecine. D’un point de vue strictement médical, l’acide hyaluronique est en effet exploité depuis de nombreuses années dans le traitement de certaines pathologies de l’œil : glaucome, cataracte, lors de chirurgies de transplantation de la cornée ou plus largement pour lutter contre la sécheresse oculaire. Dans ces cas précis, il aide à la reconstruction des tissus en favorisant leur cicatrisation, tout en veillant à une bonne hydratation constante. On l’utilise également en rhumatologie dans le traitement de l’arthrose du genou afin de lubrifier les articulations. Dans une moindre mesure, il est connu pour son effet barrière en cas de reflux gastro-œsophagiens, d’extinction de voix ou encore d’aphte de la muqueuse buccale.
Dans le domaine de la santé, l’acide hyaluronique fait aussi l’objet de nombreuses recherches sur le traitement de certains cancers. Bien que son usage soit aujourd’hui essentiellement réservé au domaine de la médecine esthétique, l’acide hyaluronique est bien loin d’avoir dévoilé tous ses secrets…
Quelle corrélation entre l’acide hyaluronique et la qualité de la peau ?
Le vieillissement des tissus est en partie lié à la diminution de la capacité de la peau à conserver son eau et donc à s’hydrater. Les mécanismes de régénération cellulaire sont altérés par différents facteurs parmi lesquels l’âge, la génétique, l’environnement ou les radicaux libres qui s’attaquent directement à nos cellules. Affectées, ces dernières ne remplissement plus leur fonction correctement et cela impacte en première ligne la souplesse de la peau dont le rôle est de former une barrière protectrice entre l’extérieur et l’intérieur de l’organisme.
Naturellement présent dans les tissus de la peau, l’acide hyaluronique a plusieurs fonctions : il garantit la structure de l’épiderme ainsi que son hydratation. Il participe donc à la régénération des cellules en jouant le rôle d’agent hydratant et protecteur. Avec l’âge, sa production diminue et sa qualité se détériore ; les effets sur la peau sont immédiats : perte de souplesse et d’éclat, déshydratation, apparition des premières rides.
Longtemps considéré comme l’unique remède pour pallier cette altération progressive de l’acide hyaluronique, le recours à des substituts chimiques n’est pourtant pas la solution la mieux adaptée pour l’organisme.
Acide hyaluronique transformé : quels risques ?

Comment une substance naturellement présente en nous comme l’acide hyaluronique peut-elle être dangereuse pour notre santé ? Comme toute substance produite naturellement au sein de notre organisme, l’acide hyaluronique est hautement tolérée par celui-ci. En revanche, lorsque sa production est le fait d’une transformation synthétique, le risque de réaction allergique augmente.
Les molécules de synthèse utilisées dans la plupart des cosmétiques présentent en effet des risques d’inflammations aiguës. Bien loin d’être naturel, l’acide hyaluronique tel qu’il est aujourd’hui commercialisé est issu de procédés chimiques potentiellement responsables d’effets secondaires indésirables. Rougeurs, hématomes, œdèmes et autres lésions dermatologiques font partie des risques liés à l’absorption d’acide hyaluronique synthétique.
Hydratation et protection : un duo gagnant pour lutter contre les signes du vieillissement
Si le vieillissement des cellules est inéluctable, nous savons que l’hygiène de vie influence de façon positive ou négative leur qualité. Tabac, stress, soleil et pollution sont autant de facteurs qui entraînent leur altération et par conséquent un vieillissement prématuré de la peau. Pour préserver la qualité des tissus, il est donc recommandé de se protéger contre tous ces agents hautement toxiques. Pour cela, l’hydratation et la protection demeurent à ce jour le secret d’une peau préservée. Et c’est par ailleurs une fonction que remplit parfaitement l’acide hyaluronique ! Mais alors comment stimuler sa production sans avoir recours à des substituts synthétiques ?
Les alternatives naturelles à l’acide hyaluronique

Pourquoi chercher dans les alternatives chimiques ce que nous pouvons absorber de façon naturelle en modifiant quelque peu nos habitudes alimentaires ? Pour commencer, l’hydratation et le sport sont une excellente façon d’éliminer les toxines qui s’accumulent dans notre organisme. Entre autres bienfaits, boire beaucoup d’eau aide à renforcer le film hydrolipidique qui forme une barrière cutanée contre les agressions tout en maintenant l’hydratation constante des différentes couches de la peau. Ensuite, il est possible de favoriser la production d’acide hyaluronique en consommant des aliments riches en vitamines A et C qui aident à lutter contre les radicaux libres et le vieillissement prématuré.
Les plantes aromatiques comme la coriandre, le romarin, le basilic ou le persil ainsi que les épices telles que le safran ou le curcuma sont des boosters naturels d’acide hyaluronique. L’huile de foie de morue et les viandes – lorsqu’elles sont consommées avec modération – telles que la dinde, le canard ou l’agneau favorisent la production de collagène nécessaire au renforcement des tissus conjonctifs.
Aussi, pour synthétiser l’acide hyaluronique, l’organisme a besoin de magnésium, un élément minéral indispensable au bon fonctionnement de l’organisme. Parmi les aliments les plus riches en magnésium, trouvez le tofu, les haricots, les fruits à coque (amandes, noisettes, noix de cajou…), les bananes ou les abricots.
Cosmétiques : avec ou sans acide hyaluronique ?
Chez Solavie, nous considérons la nature comme un précieux trésor. C’est pourquoi nous nous inspirons de ses richesses pour élaborer des solutions respectueuses au plus près de nos besoins. En plus de proposer des soins essentiellement composés de produits naturels, nous privilégions des méthodes de production éthiques à l’aide de procédés d’extraction avec ultrasons sans chaleur ni produits chimiques. L’essence même des plantes est ainsi préservée et utilisée pour ses propriétés pures sans ajout de colorant, conservateurs, phénoxyéthanol, paraben, hydrocarbure, alcool ou parfum. La gamme de soins Solavie n’a pas recours aux molécules d’acide hyaluronique ou de collagène de synthèse. Elle possède en revanche un ingrédient innovant qui a déjà fait ses preuves en dermatologie : le colostrum.
Un élixir de jeunesse respectueux pour la peau
En s’appuyant sur des recherches médicales en dermatologie, Solavie a élaboré une gamme de soins naturelle qui stimule l’auto-production de collagène et d’acide hyaluronique. Commun à tous les mammifères, le colostrum – autrement nommé le lait de naissance – est un pur concentré de vie. Essentiel au bon développement du système immunitaire, il contient des éléments capables de stimuler la régénération tissulaire. Riche en vitamines et protéines, il possède des facteurs de croissance incomparables qui ont été mis à profit en dermatologie, dans la prise en charge de troubles pigmentaires comme le vitiligo. Grâce à ses propriétés réparatrices, le colostrum montre également de très bons résultats dans la cicatrisation des ulcères des membres inférieurs du diabétique et autres inflammations de la peau telles que les radiodermites ou les brûlures. En stimulant la production naturelle d’acide hyaluronique de notre organisme, il agit directement sur la structure de la peau pour la rendre plus souple et lumineuse. Différent des autres composants anti-âge à base d’acide hyaluronique synthétique, le colostrum agit de l’intérieur et donne à l’organisme de quoi produire ses propres substances contre le vieillissement cutané.
Une gamme anti-âge 100% naturelle au colostrum

Le colostrum utilisé dans notre gamme provient de vaches exclusivement laitières (non destinées à l’abatage). Prélevé en quantité moindre dans l’heure qui suit la naissance du veau et avant la première tétée, le colostrum est ensuite associé au bienfait des plantes de façon à donner à la peau tous les éléments dont elle a besoin pour rayonner. Du lait démaquillant à la lotion tonique en passant par le sérum revitalisant, le contour des yeux et la crème nourrissante, notre gamme complète et naturelle agit directement sur la structure de la peau. Stimulée par la synthèse d’acide hyaluronique et de collagène, cette dernière est nourrie et hydratée en profondeur. Protégée, elle devient à la fois plus souple et lumineuse. Les marques du vieillissement sont réduites et l’équilibre biologique préservé.
Vous désirez en savoir plus sur nos soins anti-âge au colostrum ? N’hésitez pas à parcourir notre site internet afin de découvrir les différents soins naturels pour femme et pour homme. Aux côtés de Solavie, faites le choix d’une alternative responsable et respectueuse pour votre peau !
Marie Melayers

Ma routine beauté inspirée de la nature
À chaque changement de saison – plus particulièrement au printemps ainsi qu’à l’automne – c’est l’organisme entier qui se voit chamboulé. Fragilisé, le système immunitaire est directement impacté, la fatigue se fait sentir et l’horloge interne doit s’acclimater à tous ces changements. Si la peau est elle aussi mise à rude épreuve, il ne faut pas s’alarmer pour autant et simplement prendre le temps d’adapter sa routine beauté ainsi que son hygiène de vie pour passer le cap en douceur. Chez Solavie, nous privilégions les alternatives naturelles pour maintenir l’éclat de la peau au fil des saisons. Nous vous encourageons également à ajuster vos habitudes pour préparer au mieux l’organisme à l’hiver qui suivra dans quelques mois. Découvrez tous nos conseils pour accueillir l’automne avec sérénité…
Une saison charnière

Si la transition vers l’automne est un cap particulièrement difficile pour certaines personnes, cela s’explique par différents facteurs. La diminution de la durée d’ensoleillement et le climat sont responsables de ce que l’on nomme couramment la « dépression saisonnière ». Le rythme du sommeil est troublé par le passage à l’heure d’hiver qui perturbe également l’appétit. Des carences en vitamine D font leur apparition et avec elles une fragilisation du système immunitaire. Ces perturbations biologiques nécessitent un rééquilibrage qui prend parfois plusieurs semaines à se mettre en place.
L’automne est une étape d’autant plus charnière pour la peau qui se retrouve fragilisée par toutes les agressions qu’elle a subies au cours de l’été : soleil, chaleur, eau de mer. Avec l’arrivée du froid, elle est en proie aux tiraillements, à la sécheresse et aux irritations qui se multiplieront à la venue de l’hiver avec ses températures parfois extrêmes.
L’automne apparaît alors comme une période de transition, une étape intermédiaire et nécessaire que l’on peut percevoir comme un temps pour soi, un temps précieux pour se préparer, se régénérer. Que diriez-vous d’un grand bol de nature pour aborder ce changement de saison autrement ?
Le secret d’une peau préservée se trouverait-il dans la nature ?
Chez Solavie, nous avons depuis longtemps pris conscience de l’importance de la nature dans notre vie. C’est pourquoi nous avons élaboré une gamme de cosmétiques naturels et respectueux pour la peau. En puisant l’essence même des plantes, nous trouvons tous les éléments nécessaires à l’équilibre de notre organisme. Grâce à l’action des végétaux, nos soins actifs d’origine 100% naturelle pour homme et pour femme facilitent la régénération des cellules tout en veillant à leur protection.
Pour pallier les effets néfastes du changement de saison, la nature se trouve justement être notre plus précieuse alliée, et ce à différents niveaux. Au-delà de l’expérience sensorielle, une balade dans la nature contribue déjà à diminuer la fréquence cardiaque, à réduire le stress ainsi qu’à renforcer les défenses immunitaires. Côté alimentation, il est recommandé de consommer un maximum de fruits et légumes de saison pour apporter à l’organisme tous les bienfaits dont il a besoin à l’instant T.
Une routine beauté 100% nature avec Solavie

À l’occasion de ce changement de saison, ce sont toutes les habitudes qu’il faut revoir, y compris notre routine beauté. Après les agressions subies au cours de l’été, la peau a besoin d’une attention particulière. La première étape consiste donc à la réparer en profondeur. Pour cela, rien de tel qu’une bonne dose d’hydratation.
Si l’épiderme a soif d’hydratation à chaque saison, il se peut qu’à la venue de l’automne votre peau soit encore plus sèche qu’à l’accoutumée, qu’elle tiraille et fasse apparaître quelques rougeurs. Nous vous conseillons alors de choisir une crème nourrissante intense qui hydratera les différentes couches de l’épiderme. Une fois renforcés les tissus seront plus souples et lumineux. En complément, vous pouvez agir localement avec un soin contour des yeux naturel qui estompera rapidement les signes de fatigue.
En hiver, les cellules de la peau se renouvellent moins vite. En conséquence, cette dernière peine à se défendre contre les agressions extérieures : pollution, variations de température, etc. L’éclat du visage se ternit en même temps que le bronzage disparaît. Pour éviter l’altération des cellules, Solavie vous propose une gamme complète de soins à base de colostrum, un précieux trésor de la nature aux nombreuses vertus. Du lait démaquillant à la lotion tonique en passant par le sérum revitalisant, chaque étape de votre routine beauté 100% nature sera accomplie dans le strict respect de votre peau et de ses besoins. Véritable élixir de jeunesse, le colostrum est un composant innovant idéal en période automnale. Combiné aux extraits végétaux, il agit directement sur la qualité de la peau en lui apportant vitalité et vigueur… en bref, de quoi passer l’automne sereinement !
Marie Melayers

Vieillissement cutané : comprendre le rôle du collagène
Soucieuse de redonner à la peau éclat et souplesse, la marque Solavie œuvre au développement d’alternatives naturelles aux soins anti-âge traditionnels. Grâce aux puissants pouvoirs des végétaux associés au colostrum, la synthèse de collagène et d’acide d’hyaluronique est naturellement stimulée, permettant aux cellules de se renouveler plus facilement. Ces deux substances produites dans notre organisme sont responsables, entre autres, de la structure de l’épiderme. Au cours de notre existence, leur production est malheureusement altérée par différents phénomènes variables. Bien que cette déperdition soit inévitable avec l’âge, elle n’est pas une fatalité pour autant. Avec quelques gestes simples, nous vous offrons la possibilité de faire le plein de collagène sans avoir recours à des substituts de synthèse dont l’efficacité repose sur des procédés parfois discutables.
À quoi sert le collagène et comment booster sa production en respectant votre peau ? Solavie répond à toutes vos questions et vous guide vers des solutions 100 % naturelles et efficaces !
Un ciment naturel pour structurer l’architecture du corps
Tout droit venu du grec kóllaqui signifie « colle », le mot collagène renvoie à la cohésion des tissus. C’est en quelque sorte un ciment naturel qui veille au maintien de l’élasticité des différents tissus composant l’organisme (peau, os, ligaments, tendons, cartilages, système cardio vasculaire…). En collaboration avec d’autres protéines, il participe notamment à la régénération cellulaire.
Présent en abondance dans notre corps, le collagène est une protéine fibreuse et structurale commune à tous les mammifères. Synthétisée naturellement tout au long de notre vie, sa production diminue doucement après 30 ans et ralentit plus nettement dès 50 ans. Facteur déterminant dans le vieillissement des tissus de la peau, son rôle dans l’organisme a beaucoup intéressé la médecine. L’industrie cosmétique a quant à elle longtemps cherché à recréer un substitut capable d’offrir les mêmes bienfaits avec, en ligne de mire toujours, cette quête de la jeunesse éternelle. Si aujourd’hui nous ne parvenons pas à remplacer le collagène, nous pouvons cependant nous tourner vers des alternatives qui favorisent sa synthèse naturelle, sans produits chimiques

Différents types de collagène pour une multitude de bienfaits
Au sein même de l’organisme, le collagène agit à plusieurs niveaux. Il en existe seize types différents rassemblés en quatre catégories majeures. Chaque type de collagène joue un rôle précis : régénération musculaire, renforcement des ligaments et des cartilages, hydratation, résistance des tissus et des organes, fixation du calcium sur les os, etc. Le collagène de type I est le plus massivement présent dans notre corps : il entre dans la composition des tissus de la peau. C’est précisément sur celui-ci que l’action de nos soins végétaux va se concentrer afin d’agir directement sur les signes visibles de vieillesse cutanée.
Si le collagène est parfois utilisé pour soigner l’arthrose, soulager les douleurs articulaires diverses ou réparer la muqueuse intestinale il agit également sur d’autres plans : il stimule la pousse des cheveux ainsi que des ongles et retarde le vieillissement des cellules.
Au niveau de la peau, il a des facultés immenses que l’on ne soupçonne pas avant d’en perdre les premiers bienfaits… Il favorise le maintien des tissus et veille à l’hydratation permanente des différentes couches de l’épiderme. C’est grâce au collagène que la peau est ferme, lisse, élastique et rebondie. Dès lors que sa production est ralentie, les premiers signes de carence apparaissent…
Ces comportements qui altèrent le collagène
Véritable trésor du corps humain, le collagène est un précieux cadeau qu’il est judicieux de préserver pour en récolter les bénéfices le plus longtemps possible. Bien qu’inévitable, sa détérioration peut être accélérée par différents facteurs : maladies auto-immunes, mauvaise hygiène de vie… Le tabac, les expositions répétées aux UV du soleil ou la consommation régulière de sucres raffinés sont autant de comportements qui, à terme, finissent par altérer le collagène de façon anticipée.
Sur la peau, les signes de carence en collagène sont facilement reconnaissables : manque d’hydratation, perte d’élasticité, relâchement, apparition de rides, mauvaise cicatrisation, etc. Les symptômes moins connus sont les douleurs articulaires, les rhumatismes ou encore la fatigue.
Collagène ou acide hyaluronique : quel soin anti-âge choisir ?
L’acide hyaluronique et le collagène montrent de nombreuses similitudes. Naturellement présents dans notre organisme, ils participent tous les deux à la structure de la peau, ils accélèrent la régénération cellulaire et leur synthèse diminue avec l’âge. Cette altération simultanée a des effets immédiats que nous acceptons avec plus ou moins de réticence : les signes de l’âge apparaissent sur le visage, les rides se marquent. Pour vendre, l’industrie cosmétique ne manque pas d’arguments prônant des solutions miracles mais dont l’efficacité reste à prouver. On nous propose de les assimiler par injections cutanées, compléments alimentaires ou sous forme de soins divers à appliquer sur le visage et sur le corps. Lorsqu’il est visible, le résultat demeure cependant éphémère.
La solution n’est pas tant d’apporter à l’organisme des molécules de synthèse reconstituées chimiquement, mais plutôt de lui fournir de quoi stimuler naturellement l’acide hyaluronique et le collagène qu’il produit de façon autonome. Pour cela, nos laboratoires ont œuvré à l’élaboration d’une formule naturelle source de vitamines et minéraux, d’oligo-éléments, de protéines antioxydantes et d’acides gras essentiels : un cocktail détonnant à base de colostrum.
Le colostrum pour booster la production de collagène ?

Chez Solavie nous ne prônons ni les crèmes à base d’acide hyaluronique, ni les injections de collagène. Nous vous offrons en revanche le choix de l’équilibre, du respect et des résultats ! Avec sa recette naturelle issue des végétaux, notre gamme de soins anti-âge se présente comme une alternative idéale aux cosmétiques contenant du collagène et de l’acide hyaluronique de synthèse. Non testés sur les animaux, nos produits sont également confectionnés dans le respect de la nature.
La composition des soins Solavie réunit tout ce dont la peau a besoin pour être éclatante : concombre, argan, jojoba, gingembre, aloé vera… autant de concentrés nourrissants, réparateurs et illuminateurs.
Associé à ces végétaux, le lait de naissance nutritif appelé colostrum est quant à lui riche en antioxydants capables de stimuler l’auto-production naturelle de collagène. Ce concentré de vie est un anti-rides reconnu par la médecine pour son efficacité. Son rôle ? Nourrir en profondeur les tissus afin de les inciter à produire eux-mêmes leurs substances anti-âge. Les cellules sont ainsi plus facilement renouvelées, l’épiderme revitalisé.
Votre soin naturel sur mesure pour combattre le vieillissement
Pour être souple, la peau a d’abord besoin d’être hydratée en profondeur. Les principes actifs présents dans nos soins nourrissants à base de végétaux et de colostrum remplissent parfaitement ce rôle. Pour les peaux mixtes, le sérum revitalisant Solavie agira en douceur afin de nourrir suffisamment la peau sans la graisser. Les peaux sèches auront tout intérêt à opter pour la formule nourrissante plus riche. En complément de ces soins hydratants, il est nécessaire d’agir localement sur le contour des yeux qui est une zone où le relâchement est très fréquent avec l’âge. Stimulés par la formule anti-âge au colostrum, les tissus de cette partie sensible sont renforcés, le regard est illuminé.

La solution se trouve aussi dans notre assiette
On ne le répète jamais assez : notre façon de consommer a un impact sur notre santé. Aussi, certains nutriments sont des boosters naturels de collagène. Pour faire une cure, privilégiez les aliments riches en vitamines A et C, en cuivre, proline, etc. On les retrouve notamment dans de nombreux végétaux : framboise, cerise, brocoli, poivron… mais également dans les œufs ou les crustacés par exemple. Complétez le tout d’une bonne dose d’hydratation quotidienne et le tour est joué !
Marie Melayers

Carence en vitamine D, un fléau qui touche près de 80% de la population occidentale
Selon un rapport de l’Académie de Médecine Française (AMF), près de 80 % de la population occidentale et presque toutes les personnes âgées présenteraient une carence en vitamine D. Et vous ?
Comment reconnaître les signes de carence ? Quelles sont les solutions pour remédier à ce problème ? Notre pharmacien répond à toutes ces questions.
Les signes d’une carence en vitamine D
Les symptômes d’une déficience en vitamine D se manifestent de diverses manières :
- Une sensation de grande fatigue. La vitamine D permet en effet de lutter contre la fatigue. C’est pourquoi, lorsque nous sommes carencés, il devient plus difficile d’être énergique.
- Puisque la vitamine D stimule le système immunitaire, nous pouvons faire face à des infections à répétition lorsque nous en manquons. Un des signes de carence en vitamine D se manifeste souvent par des affections des voies respiratoires supérieures au cours de l’hiver. Ceci s’explique parce que l’hiver, faute d’exposition solaire suffisante, on manque de vitamine D.
- Une faiblesse musculaire, des douleurs osseuses, des crampes : La vitamine D est essentielle à la santé des os, des cartilages et elle joue un rôle essentiel dans le maintien de la masse musculaire. Une perte de force musculaire, des raideurs articulaires, des douleurs ou des lésions osseuses à la suite de traumatismes mineurs, peuvent indiquer une carence en vitamine D.
- Une déprime : La déprime hivernale est souvent liée à un manque d’ensoleillement. Parce qu’avant tout, les rayons du soleil permettent à notre peau de synthétiser la quasi-totalité de la vitamine D dont nous avons besoin. Or, la vitamine D est indispensable à la fabrication, dans notre cerveau, des petites hormones du bonheurs que sont : la dopamine qui nous donne de l’entrain et de la sérotonine qui nous apporte du bien-être. Faute de soleil et donc de vitamine D, notre humeur s’assombrit et notre dynamisme s’étiole.
Mais au-delà de ces signaux d’alerte, certaines personnes sont plus susceptibles que les autres de présenter une carence en vitamine D.

Qui a le plus de risque de manquer de vitamine D ?
Les facteurs de carence en vitamine D
- En premier lieu, les personnes souffrant le plus souvent d’une carence en vitamine D sont celles qui ne s’exposent pas assez au soleil (au moins 20 minutes par jour bras découverts), celles qui s’en protègent trop (écrans solaires ou port du voile), ou celles dont la peau a perdu sa capacité à synthétiser la vitamine D : les personnes après 65 ans.
- On trouve aussi parmi les personnes les plus touchées, celles à la peau brune qui ont besoin de 4 à 5 fois plus d’exposition solaire que les peaux claires pour produire la même quantité de vitamine D. C’est pourquoi, les peaux africaines ont plus de difficulté à fabriquer suffisamment de vitamine D sous nos latitudes.
- Viennent ensuite les gens en surpoids ont un autre problème. Comme la vitamine D est une vitamine liposoluble, elle est séquestrée dans leurs tissus adipeux et n’est plus disponible pour l’organisme.
- Enfin, certaines pathologies sont génératrices ou liées à une carence en vitamine D : Les maladies auto-immunes (polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite, psoriasis, sclérose en plaque…), les syndromes de malabsorption ou d’inflammation intestinale (maladie cœliaque, maladie de Crohn, fibrose kystique), certains cancers, les maladies et lésions hépatiques, l’insuffisance rénale chronique, l’immunodéficience (VIH ou médicamenteuse), l’hypertensions artérielle et maladies cardiovasculaires, etc…
La dose recommandée en vitamine D
Les apports alimentaires ne couvrant que 10% à 20% de nos besoins : ils sont insuffisants. Ceci explique, en partie pourquoi le déficit en vitamine D atteint tant de personnes. C’est la raison pour laquelle de nombreux experts prônent pour une supplémentation quasi généralisée.
La posologie de la vitamine D est souvent donnée en unités internationales (UI) plutôt qu’en microgrammes (µg). Pour s’y retrouver, il suffit de savoir que 1 µg = 40 UI.
Une supplémentation quotidienne généralisée de 2000 UI/j de vitamine D à partir de 10 ans peut être recommandée absolument sans risque.

Quelle vitamine D choisir pour éviter la carence ?
Nous l’avons vu, près de 90% de notre vitamine D est synthétisée au niveau de la peau sous l’effet des rayons du soleil. Mais, après trois mois d’automne, les stocks produits au cours de l’été sont épuisés. La vitamine D prend plusieurs formes :
- La forme animale, celle que nous fabriquons, est appelée : D3 ;
- Les végétaux produisent et nous apportent de la vitamine D2.
Bien que les deux formes soient utilisables par notre organisme, une supplémentation avec la forme animale (vitamine D3) est plus efficace car plus compatible à notre physiologie.
La vitamine D est insoluble dans l’eau, mais soluble dans les graisses. C’est pourquoi elle est mieux assimilée par l’organisme quand elle est administrée sous forme huileuse.
Comme elle est stockée dans l’organisme, il est possible – et c’est le principe de la supplémentation médicamenteuse – d’administrer une forte dose de vitamine D huileuse pour couvrir les besoins sur une longue période de 3 à 6 mois. Néanmoins, la mise à disposition de ces réserves n’est pas la même au fil des semaines et diffère d’un individu à l’autre. Il est plus simple, plus sûr et plus naturel de fournir à l’organisme sa dose utile de vitamine D jour après jour. Mais il est vrai que c’est aussi plus contraignant pour le patient. Recourir à la dose unique pour couvrir 3 mois est une solution de facilité pour contourner une carence en vitamine D…
La solution de PhytoQuant pour lutter contre les carences en vitamine D
PhytoQuant a pris en compte tous ces paramètres pour vous proposer QuantaVitD, un complément alimentaire naturel qui présente de nombreux avantages…

QuantaVitD, c’est quoi ?
- Une vitamine D3 naturelle (lanoline de mouton, une cire naturelle obtenue à partir de la laine) qui est plus compatible pour les humains.
- Un support d’huile de Lin Bio qui permet à la vitamine D3 d’être mieux assimilée par l’organisme car c’est une vitamine liposoluble. L’huile de lin est riche en bons acides gras : Omega 9, Omega 6 & Omega 3.
- Une composition 100% naturelle ! Aucun ajout à ces deux ingrédients : ni conservateur, ni additif, ni colorant, ni arome.
- Une forte concentration pour mieux lutter contre une carence en vitamine D : 5 gouttes de QuantaVitD apportent 2000 UI de Vit D3 – qui est la dose recommandée aujourd’hui par de nombreux experts.
- Une solution économique : bien que deux fois plus riche en vitamine D, QuantaVitD est de deux à quatre fois moins cher que la plupart des produits proposant de la vitamine D sous forme huileuse (la meilleure forme).
Comment utiliser QuantaVitD ?
- Tout le monde, à partir de 10 ans, en automne et jusqu’au mois de mai pour pallier une carence en vitamine D à la venue de l’hiver et en prévention des infections virales saisonnières (en particulier orl) : 5 gouttes de QuantaVitD par jour.
- De 3 à 10 ans : jusqu’à 1000 UI/j = 5 gouttes de QuantaVitD tous les 2 jours.
- Les personnes âgées et après 50 ans car la peau perd, au fil du temps, de sa capacité à produire la vitamine D3 : 2000 UI/j = 5 gouttes de QuantaVitD par jour en continu toute l’année.
- Il est préférable de prendre 5 gouttes par jour. Mais on peut également prendre 35 gouttes en seule prise, 1 fois par semaine (par exemple le dimanche) car la vitamine D sera stockée et libérée au fur et à mesure.
- Il est conseillé aux femmes enceintes allaitantes, enfants de moins de 3 ans et femmes ayant des antécédents personnel ou familiaux de cancer du sein, de demander un avis médical avant toute supplémentation.
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