Agrumes et complémentaires pour une cure de vitamine C naturelle.
23 mars 2022 | Marie MELAYERS

L’importance de la vitamine C naturelle

3 Français sur 4 ne mangent pas 5 fruits et légumes par jour. C’est insuffisant pour combler leurs besoins en vitamine C naturelle ! J’ai beau savoir que c’est indispensable pour la santé, tout comme les ¾ des Français, je reste incapable de manger 5 portions de fruits et légumes par jour !

Début 2001, le ministère de la Santé lançait un ambitieux programme ayant pour but d’améliorer l’état de santé des Français. De grandes campagnes de sensibilisation du public ont débuté à base de recommandations sanitaires qui sont devenues des slogans comme « Manger, bouger » et « 5 fruits et légumes par jour ». Respecter cette dernière recommandation est indispensable pour satisfaire nos besoins en vitamines, minéraux et fibres. Car, cela protège de bien des pathologies chroniques. Et pourtant, en dépit de plus de vingt ans de campagnes publicitaires, le message ne passe pas. Bien au contraire ! Selon une étude du Crédoc(1), ¾ des Français ne mangent pas 5 fruits et légumes par jour. Et, paradoxalement, ce sont les jeunes nés après 2001, qui boudent le plus les fruits et légumes.

Si l’objectif « cinq fruits et légumes par jour » s’avère particulièrement délicat à atteindre, c’est pour deux raisons. En premier lieu, en raison de la perte du savoir-faire culinaire. Pour caricaturer, on ne cuisine plus : on réchauffe des plats préparés. Ensuite, en raison du changement de notre mode de vie au cours des 50 dernières années. Nous nous sommes massivement urbanisés. Et l’éloignement entre notre domicile et notre lieu de travail nous conduit à adopter un mode d’alimentation plus pratique, plus rapide, mais pas forcement plus sain. La restauration rapide, les snacks, les pizzas… n’apportent pas suffisamment de fruits et légumes frais. Comment faire alors pour combler nos besoins en vitamine C naturelle et autres nutriments essentiels à l’organisme ? Réponse dans notre article.

Le rôle de la vitamine C naturelle

L’une des vitamines les plus importantes contenues dans les fruits et légumes est la vitamine C naturelle. La vitamine C est tout d’abord l’antioxydant de jouvence par excellence ! Elle lutte contre le vieillissement et la dégradation de nombreux tissus. La vitamine C intervient également dans beaucoup de processus physiologiques. Ainsi, au niveau immunitaire, elle nous aide à combattre les infections de l’hiver. Ensuite c’est la vitamine qui nous permet de produire de l’énergie pour combattre la fatigue. Elle favorise aussi l’absorption digestive du fer. Moins de fer assimilé, c’est moins d’hémoglobine donc moins d’oxygène pour nos organes ! Enfin, la vitamine C naturelle intervient dans la production du collagène. Le collagène est une protéine essentielle à la l’intégrité de la structure de la peau, mais aussi à celle de nos vaisseaux sanguins, la cornée de nos yeux, nos tendons, cartilages os, gencives et dents.

Une vitamine précieuse et fragile

La vitamine C est tellement vitale, que la plupart des plantes et des animaux la synthétise eux-mêmes. Mais ce n’est pas le cas de l’homme. Nous nous la procurons en mangeant quotidiennement des fruits et légumes frais et si possible crus, comme le faisaient nos ancêtres chasseurs cueilleurs.

Pourquoi frais et crus ? Eh bien, parce que la vitamine C naturelle est très fragile. Dans l’eau, elle est progressivement détruite par la chaleur (cuisson), par l’oxygène de l’air et par la lumière du jour (UV). Il faut donc privilégier des végétaux frais, une cuisson courte, à basse température, dans le moins d’eau possible pour que les plats conservent la vitamine C dont nous avons grand besoin.

La fragilité de la vitamine C naturelle.

Une difficulté à combler nos besoins en vitamine C naturelle

Même dans le cadre de repas soigneusement élaborés par des diététiciens, on s’est rendu compte que la vitamine C naturelle faisait parfois défaut. Ainsi, de forts taux d’hypovitaminose C ont été constatés chez les résidents d’une unité de long séjour dont jusqu’à 6 sur 10 étaient carencés en vitamine C (2). Tout simplement, parce les plateaux repas de contenaient plus assez de vitamine C au moment où ils étaient servis. Ceci, en raison de 2 facteurs :

  • Le temps trop long et les variations de température entre le moment de la préparation du repas et celui de sa consommation (les plats chauds, refroidis dans l’intervalle, étaient réchauffés au moment de servir les plateaux ce qui détruisait une bonne part de la vitamine C naturelle) ;
  • Le mode de préparation des aliments les plus susceptibles de fournir de la vitamine C. Les crudités étaient tranchées et les fruits prédécoupés trop longtemps à l’avance ce qui les exposaient à l’action destructrice de l’air et de la lumière.

Le problème a été résolu en ajoutant, chaque jour, un verre de jus d’orange frais au petit déjeuner des résidents.

Pourquoi chaque jour ? Là encore, il y a une raison. La vitamine C naturelle est peu stockée dans l’organisme qui n’en dispose pas plus de 5 grammes en réserve. Les premiers signes de carences graves ont été observés chez des prisonniers volontaires au bout de 4 semaines à peine sans apports de vitamine C(3). C’est pourquoi, l’apport en vitamine C doit être régulier et ininterrompu et qu’il est conseillé de consommer des fruits et légumes chaque jour.

Quels sont les aliments riches en vitamine C naturelle ?

Les végétaux les plus riches en vitamine C sont notamment le kiwi, la goyave, le cassis, le persil, l’estragon, l’oseille, le poivron, la fraise, les agrumes, le cresson et les choux verts. Les aliments d’origine animale en contiennent peu ou pas (sauf le jambon, le foie et les autres abats). Les céréales, le pain, les fruits oléagineux, les œufs, les matières grasses (beurre, huiles, margarines) n’en contiennent pas.

5 fruits et légumes riches en vitamine C naturelle.

Carences et vitamines C : Qui est concerné ?

Les effets dévastateurs d’une absence de vitamine C dans l’organisme

La maladie entrainée par une absence totale d’apport de vitamine C naturelle est le scorbut. Maladie des explorateurs marins, cette « peste des mers » se manifeste d’abord par une grande fatigue, une perte d’appétit, un amaigrissement et des trouble cutanés, des faiblesses et des douleurs ostéo-articulaires, des gingivites avec hémorragie, un essoufflement et une respiration difficile, un état dépressif. Dans sa forme grave, les dents se déchaussent, les gencives deviennent purulentes, le malade souffre d’hémorragies, puis succombe.

Pendant longtemps, le scorbut fut dévastateur pour les équipages marins sans que l’on comprenne la raison de ce mal. Il fallut attendre le 18ème siècle pour, qu’en opposition avec la médecine humorale de l’époque, le Dr James Lind publie son « Traité sur le scorbut » qui préconisait la consommation d’agrumes sur les navires et, dans la foulée, commercialise son célèbre « Lemon Juice » qui fut le premier remède confectionné contre le scorbut(4).

Mais ce n’est que dans les années 1930 que le scorbut fut pleinement reconnu comme une maladie de carence alimentaire. Car, en 1928, Albert Szent-Gyorgyi avait isolé la vitamine C, qu’il nomma « antiscorbutique » d’où le nom chimique de la vitamine C : acide ascorbique. Cette découverte lui valut un prix Nobel.

Carence en vitamine C naturelle : mieux vaut prévenir que guérir

De nos jours, dans les pays industrialisés, le scorbut reste exceptionnel. Les rares cas récents recensés en France concernaient des personnes sans domicile fixe ou des personnes âgées isolées. Une fois diagnostiqué, le traitement du scorbut est très simple, rapide et efficace : 1 gramme de vitamine C par jour en plusieurs prises. Mais si le scorbut, dû à une absence totale d’apports en vitamine C, est rare, il en va autrement des carences chroniques provoquées par des apports insuffisants en fruits et légumes sur une longue période. Les effets à long terme peuvent être d’autant plus dévastateurs que l’insuffisance chronique en vitamine C passe le plus souvent inaperçue. Fatigue, gencives qui saignent, douleurs articulaires, déprime… Rien de très significatif. D’après plusieurs travaux, la déplétion chronique en vitamine C naturelle augmenterait le risque de maladie cardiovasculaire, d’hémorragie cérébrale, de cataracte, de certains cancers, de maladies neurodégénératives, de démences… A l’inverse du scorbut, dans ces cas-là, une supplémentation tardive en vitamine C ne fait pas reculer les maladies installées. D’où l’importance préventive d’apports en vitamine C suffisants et constants.

Alimentation saine pleine de vitamine C d'origine naturelle.

La chasse aux mauvaises habitudes alimentaires

On sait aujourd’hui que beaucoup de personnes présentent des taux sanguins de vitamine C insuffisants de manière chronique. Tout d’abord, par manque d’apport ou de mauvaise absorption de la vitamine C. Ceci s’observe en cas d’alcoolisme, de malabsorption digestive, mais le plus fréquemment en cas de régimes restrictifs. Les hommes, les personnes âgées et les jeunes sont les plus susceptibles d’être carencés en vitamine C. Une étude de 2014 fait état d’une hypovitaminose C chez 23% des étudiantes et 28% des étudiants à l’université(5). Cette population connait pourtant la nécessité de consommer des produits contenant des vitamines, mais conserve ses mauvaises habitudes alimentaires. Ce qui rejoint les conclusions de l’enquête du Credoc. Ensuite, ceux dont les besoins sont accrus : les gens atteints de diabète, les fumeurs, les personnes prenant plusieurs médicaments au long cours, les stressés et les dépressifs, les femmes enceintes ou allaitantes.

Pour toutes ces personnes, et pour ceux qui ne mangent pas 5 fruits et légumes par jour, une supplémentation raisonnée en vitamine C est conseillée.

Complément alimentaire riche en vitamine C.

La supplémentation en vitamine C naturelle

Comment choisir sa vitamine C ?

Les compléments alimentaires et les médicaments en vente libre qui proposent de la vitamine C naturelle sont légion. Comment faire son choix ?

  • En premier lieu, il faut savoir que la forme physiologique de la vitamine C est l’acide L-ascorbique. Vérifiez bien cette mention avec le « L » qui assure que la vitamine C est bien biocompatible. Sachez qu’une vitamine C d’origine naturelle, le plus souvent végétale, est presque à coup sûr de l’acide L-ascorbique.
  • Les doses quotidiennes usuelles recommandées vont de 500 mg à 1 gramme de vitamine C naturelle par jour pour les adultes. De 200 à 500 mg maximum pour les enfants au-dessus de 10 ans, et jusqu’à 200 mg par jour maximum pour les enfants de 3 à 10 ans.
  • La plupart des produits disponibles proposent de la vitamine C sous forme d’acide ascorbique ou d’un de ses sels solubles dans l’eau. Or, l’acide ascorbique est absorbé au niveau de l’intestin grêle via un transporteur actif lié au sodium et à l’eau. Mais ce mécanisme est saturé au-delà d’un apport de 200 mg de vitamine C par prise. Donc, que vous preniez un comprimé dosé à 250 mg, 500 mg ou 1000 mg, le résultat sera le même : seuls 200 mg de vitamine C seront absorbés et passeront dans votre sang. Le reste sera gaspillé. Si vous voulez assimiler 1 gramme de vitamine C par jour, il vous faudra fractionner votre comprimé d’1 g en 5 morceaux et les consommer en 5 fois espacées de deux heures entre les prises (comme pour le traitement du scorbut).

Au global, la supplémentation classique en vitamine C est en partie gâchée, parce que l’intégralité de la dose n’est pas absorbée par l’organisme d’une part et que d’autre part, elle est rapidement éliminée dans les urines avant d’atteindre l’intégralité des tissus.

C’est pourquoi, une nouvelle forme de vitamine C naturelle est apparue récemment : la vitamine C liposomale.

La Vitamine C liposomale

Vitamine C encapsulée.

Un liposome est une microbille de phospholipides qui sont de structure identique à celle de la membrane de nos cellules. On arrive aujourd’hui à emprisonner la vitamine C à l’intérieur de ces liposomes. On dit que la vitamine C naturelle est y « encapsulée ». Tout comme un astronaute dans l’espace, la vitamine C se retrouve isolée du milieu extérieur. Elle n’est donc plus soluble dans l’eau. Quand on consomme de la vitamine C liposomale, c’est le liposome en entier qui est absorbé au niveau de l’intestin grêle. Et là, l’absorption n’est plus limitée à 200 mg par prise.

Mais ce n’est pas tout ! Une fois absorbé, le liposome, petite bille de lipides, n’est pas éliminé dans les urines mais transporté au sein des tissus. Là, comme il est de nature similaire, le liposome traverse tout naturellement la membrane des cellules pour y délivrer la vitamine C.

Schéma de l'absorption de la vitamine C par les cellules.

Grâce aux liposomes, la vitamine C naturelle est mieux absorbée, puis transportée et libérée là où elle doit agir : au cœur même de nos cellules. D’ailleurs, on vient d’avoir la confirmation du bien-fondé de cette forme galénique, depuis qu’on a découvert que notre corps lui-même a recours à un système de transport liposomal pour faire pénétrer la vitamine C au sein de nos tissus(6).

Découvrez notre solution naturelle : QuantaVitC Liposomale

Complément alimentaire riche en vitamine C liposomale.

La technique de fabrication des liposomes est coûteuse, ce qui fait que les produits disponibles sur le marché sont considérés comme chers.

Souvent 1 gramme de vitamine C liposomale est vendu autour d’1,50€.

Chez PhytoQuant, nous produisons les liposomes à partir de la lécithine de soja (non OGM) par sonication grâce à notre maitrise des techniques de production par ultrasons.

Puis nous procédons à la micro-encapsulation de la vitamine C naturelle par atomisation à froid, sans hydrolyse, pour ne pas dénaturer l’acide L-ascorbique.

Les avantages de notre formule riche en vitamine C naturelle

La vitamine C est plus efficace sous forme liposomale. Elle autorise l’absorption de plus de 200 mg de vitamine C par prise. Ensuite, le liposome va libérer la vitamine C qu’il emprisonne au cœur des cellules.

  • Notre vitamine C est naturelle. C’est bien de l’acide L-ascorbique.
  • Et comme nous la fabriquons nous-mêmes, QuantaVitC est très économique : 9.50 € la boite de 60 gélules (soit 44 centimes le gramme de vitamine C).

Aussi, pour vous prémunir des infections hivernales, si comme moi vous ne mangez pas vos 5 fruits et légumes frais quotidiennement : prenez 2 gélules de QuantaVitC chaque matin !

Docteur Khodja, Phytoquant

Références bibliographiques

1. Etude du Centre de recherche pour l’étude et l’observation des conditions de vie(Credoc)- Consommation et modes de vie – N° 292 – ISSN 0295-9976 – Juillet 2017.

    2. Buisson S, Antoine V, Mallet A, Barthelemy F, Bodenan L, Razafimamonjy J. Carence en vitamine C en unité de soins de longue durée. Etude chez 159 personnes âgées. Prévalence et supplémentation par du jus d’orange. Age Nutr. 2007;18(3):115̻22.

    3. ROBERT E. HODGES, EUGENE M. BAKER, JAMES HOOD, HOWERDE E. SAUBERLICH, STEVEN C. MARCH,
    Experimental Scurvy in Man, The American Journal of Clinical Nutrition, Volume 22, Issue 5, 1969, Pages 535-548,ISSN 0002-9165,

    4. Ce remède fut en réalité un échec. Car pour pouvoir conserver le remède lors des longs voyages en mer, on préparait le « lemon juice » dans une solution sucrée qu’on faisait chauffer pour en faire un sirop. La vitamine C était bien sûr détruite par cette cuisson. Mais cela devait être délicieux !

    5. Szczuko M, Seidler T, Stachowska E, Safranow K, Olszewska M, Jakubowska K, et al. Influence of daily diet on ascorbic acid supply to students. Rocz Państw Zakładu Hig. 2014;65(3):213̻20.

    6. Duconge J1, Miranda-Massari JR, Gonzalez MJ, Jackson JA, Warnock W, Riordan NH.Pharmacokinetics of vitamin C: insights into the oral and intravenous administration of ascorbate. P R Health Sci J. 2008 Mar;27.

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    Les vitamines dans l'alimentation.
    21 mars 2022 | Marie MELAYERS

    L’importance des vitamines

    Les vitamines et minéraux jouent un rôle clé dans l’organisme. Ils sont indispensables à notre survie et à une bonne santé. En théorie, un régime alimentaire équilibré devrait pouvoir fournir toutes les vitamines et tous les minéraux dont nous avons absolument besoin. Mais ce n’est pas le cas ! En effet, dans nos pays industrialisés, si les cas de carences sévères sont limités, les insuffisances d’apports, en revanche, sont monnaie courante. De nombreuses études(1) ont révélé qu’une partie importante de la population manque de vitamines et minéraux. Ainsi, en France, jusqu’à 50% des gens ne reçoivent même pas la moitié de leurs besoins quotidiens recommandés en vitamines ! Or, ces insuffisances d’apports sont invisibles. Leurs effets ne se répercutent gravement sur la santé que tardivement. Et, après 50 ans, l’importance des vitamines et minéraux est d’autant plus essentielle que nos besoins sont accrus. Par l’apparition d’une pathologie chronique (hypertension artérielle par exemple) ou par modification de notre physiologie (ménopause), et aussi parce que certains médicaments souvent prescrits à partir de cet âge ont tendance à épuiser les réserves de micronutriments dans le corps. C’est le cas des traitements hormonaux, des anticoagulants, des IPP (antiacides pour l’estomac), des statines (pour faire baisser le taux de cholestérol) et de bien d’autres encore. Mode de vie, vieillissement, médication… conduisent cette forme de dénutrition invisible, touchant en premier lieu ces micro-nutriments essentiels, et qui est délétère pour la santé.

    L’importance des vitamines C

    Exception faite de la vitamine D, qui est synthétisée par notre peau après exposition au soleil, et de la vitamine K, l’organisme est incapable de synthétiser les vitamines. Elles doivent impérativement être apportées par l’alimentation. L’importance des vitamines est telle que nos fonctions ne pourraient pas être assurées correctement sans elles. Elles exercent en effet un rôle primordial dans tous les processus biochimiques de l’organisme.

    Ainsi, la vitamine C est fondamentale pour nos os, nos dents, nos gencives et pour nos défenses immunitaires. Alors une supplémentation en vitamine C à partir de 50 ans participe à la préservation de leur intégrité.

    Illustration de la vitamine C.

    Bon à savoir : La vit C Liposomale est la plus efficace car elle permet à la vitamine C d’être mieux absorbée et surtout de mieux pénétrer là où elle doit agir : au cœur même de nos cellules.

    Le rôle essentiel de la vitamine D

    Selon un rapport de l’Académie de Médecine Française, près de 80 % de la population occidentale et presque toutes les personnes âgées seraient déficientes en vitamine D parce qu’en vieillissant, notre peau perd de sa capacité à fabriquer de la vitamine D sous l’effet des rayons de soleil.

    Pourtant, L’importance des vitamines D s’illustre dans nos besoins journaliers : un apport quotidien de 1500 à 2000 UI de vitamine D par jour permet en effet de lutter contre l’ostéoporose et joue un rôle dans la prévention ou le ralentissement du déclin cognitif.

    Illustration de la vitamine D.

    La solution PhytoQuant pour lutter contre les carences en vitamine D ? 5 gouttes de QuantaVitD apportent 2000 UI (50 µg) de vitamine D3 naturelle dans de l’huile de lin bio. Car la vitamine D a besoin de corps gras pour être absorbée dans l’intestin.

    L’importance des vitamines D en association avec le Calcium

    Le calcium et la vitamine D sont des nutriments indispensables au maintien d’une bonne santé osseuse. L’os est un tissu vivant qui se régénère et se répare continuellement. Et, le calcium joue un rôle primordial dans ce processus de remodelage osseux. Toutefois, comme bien des nutriments, le calcium est absorbé moins efficacement à mesure que nous vieillissons. Des études ont révélé qu’un apport adéquat en calcium de l’ordre de 1200 mg par jour pouvait freiner la perte osseuse et réduire le risque de fracture. Les produits laitiers sont les principales sources de calcium. Cependant, avec l’âge, et la diminution de production de l’enzyme qui permet de digérer le lait (la lactase), ils ne jouent plus ce rôle de fournisseur de calcium. C’est pourquoi, une supplémentation sécuritaire en calcium est recommandée. Il faut l’associer à de la vitamine D qui favorise l’absorption du calcium… On commence ainsi à comprendre l’importance des vitamines qui interagissent avec d’autres nutriments afin d’assurer les fonctions de nos cellules et de nos organes…

    L'action synergique du calcium et de la vitamine D.

    Bon à savoir : La coquille d’huître et le Lithothamne (une algue) sont des produits de la mer riches en calcium. Si vous souffrez d’une carence, n’hésitez pas à vous tourner vers des compléments alimentaires naturels qui en contiennent afin d’assurer tous vos besoins quotidiens.

    Les autres vitamines et minéraux importants pour l’organisme

    Après la vitamine D, et la vitamine C, c’est sur l’importance des vitamines A, E et surtout B9 et B12 que nous allons désormais nous focaliser. En ce qui concerne les minéraux, à partir de la cinquantaine ou de la ménopause, les besoins en calcium, fer, magnésium, phosphore, potassium, sélénium, zinc et chrome sont plus importants. Et c’est souvent ce qui nous fait défaut passé un certain âge…

    Comment combler tous ses besoins en vitamines ?

    En complément d’une alimentation équilibrée, les compléments alimentaires interviennent pour rééquilibrer les besoins de l’organisme. Pour être sûr de ne manquer de rien, notre formule Quantavital garantit un apport sécuritaire de 11 vitamines : A, C, E et 100% des besoins en vitamines B1, B2, B3, B5, B6, B8, B9 et B12 et 6 minéraux : Zinc, Chrome, Magnésium, Sélénium, Molybdène. Le tout associé, bien sûr, à des plantes : Spiruline, Dunaliella, Acérola et ce booster physique et mental qu’est l’Eleuthérocoque !

    Fruits frais pleins de vitamines importantes.

    Le Magnésium : un minéral précieux

    SI l’importance des vitamines n’est plus à démontrer, celle des minéraux l’est tout autant pour maintenir l’organisme en bonne forme. Parmi les plus indispensables, le magnésium est un minéral précieux qui intervient dans plus de 300 réactions enzymatiques. De la contraction musculaire, à l’équilibre mental et psychique, en passant par son rôle dans la régulation de la tension artérielle son rôle est capital. Mais souvent le magnésium, pourtant bien présent dans les prises de sang, est absent des tissus comme les muscles ou la peau. C’est parce qu’il n’arrive pas à pénétrer dans les cellules. Pour cela il faut apporter à l’organisme, en même temps que du magnésium, de la vitamine B6 et un acide aminé : la taurine.

    Pour conclure sur l’importance des vitamines

    Il est difficile de s’assurer des apports suffisants en vitamines et minéraux par la seule alimentation. Pour être certains de disposer de tous ces micro-nutriments essentiels, bénéfiques et protecteurs, complétez votre alimentation par des compléments alimentaires de qualité comme ceux proposés par PhytoQuant. Quelle que soit votre situation personnelle : stress, troisième âge, ménopause, maladie chronique, traitement médicamenteux, etc…, PhytoQuant propose la supplémentation utile et adaptée.

    Parlez-en à votre praticien de santé qui saura vous conseiller davantage sur le sujet !

    (1) En France, plusieurs études ont évalué l’apport en vitamines et minéraux des Français. L’étude ESVITAF (Survey on the vitamin status of the French) en 1985, l’étude de Bourgogne (Vitamin status of healthy subjects in Burgundy) en 1996, et surtout les études SUVIMAX en 1998 & SUVIMAX 2 en 2012. Mais il existe des rapports du même ordre, et conduisant aux mêmes conclusions, aux USA au Canada, au Royaume-Uni et en Allemagne.

    Docteur Khodja, Phytoquant
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    Renforcer les défenses immunitaires naturellement
    21 mars 2022 | Marie MELAYERS

    Renforcer son immunité naturellement

    Nous espérions que l’été nous en débarrasserait. Mais force est de constater que le coronavirus est toujours présent. De nouveau, les services d’urgence accueillent des malades qui ont développé une forme grave de la covid19. Il y a fort à parier que de nouvelles mesures de confinement seront sans doute mises en place localement, nous rappelant de mauvais souvenirs. Mais, rassurez-vous, il y peu de chances que nous assistions au rush dramatique de mars/avril. D’une part, parce que les gestes barrière ralentissent la propagation du virus et, d’autre part, parce que la détection précoce et la prise en charge des malades ont beaucoup évolué depuis le printemps dernier. Mais, ce virus qui semblait avoir perdu son pouvoir de nuisance cet été tant les cas asymptomatiques et bénins se multipliaient, va tout de même faire de nouvelles victimes cet hiver. Comment s’y préparer ? Existe-t-il des solutions pour renforcer son immunité naturellement ? Pour répondre à ces questions, il est essentiel de comprendre comment les virus attaquent l’organisme et quelles sont les ressources dont celui-ci a besoin pour se défendre.

    90% des infections qui nous affectent l’hiver (rhume, grippe, angine, gastro-entérites…) sont dues à des virus. Ceci par la conjugaison de deux facteurs. En premier lieu, la plupart de ces virus préfèrent un environnement froid et humide qu’un climat chaud et sec. C’est pourquoi, sous nos latitudes, la fin de l’automne et l’hiver sont la période idéale pour eux. D’autre part, et à contrario, c’est la période où nous-mêmes sommes plus sensibles aux virus. Parce qu’on boit moins, on consomme moins de fruits et de crudités, on a tendance à manger plus cuit, plus gras et plus sucré. En outre, il y a moins de soleil, il fait plus froid… Tout cela affaiblit nos défenses immunitaires contre les infections. Or, l’expérience récente nous l’a douloureusement démontré, les médicaments étant souvent impuissants à vaincre ces virus, la seule arme qui prémunit, combat et élimine efficacement les virus : c’est notre propre système immunitaire. Et c’est pendant les 3 mois d’automne qu’il faut le booster. Comment renforcer son immunité naturellement ? Il existe des solutions simples que notre pharmacien vous présente dans ce dossier.

    Renforcer son immunité naturellement par le biais de l’alimentation

    Bien évidemment, tout commence par une alimentation équilibrée. Et il convient de ne pas surcharger et encrasser l’organisme. Ce n’est surement pas par hasard, si les abus alimentaires des fêtes de fin d’année coïncident souvent avec une flambée des pathologies hivernales. Pour renforcer son immunité naturellement, il faut donc éviter les graisses cuites, les sucres rapides, les alcools, les plats et préparations industriels. Les laitages sont à éviter ou à réduire car ils sont source d’inflammations digestives. Or, un intestin sain, équilibré et imperméable est la clé de voute de notre système immunitaire…

    Plat équilibré pour améliorer la santé.

    L’importance des vitamines et minéraux

    S’il faut se préserver des abus, il convient également d’éviter certaines carences. Or, l’hiver nous bénéficions de moins d’exposition au soleil (source de vitamine D) et nous mangeons moins de fruits et légumes frais et crus qui nous apportent beaucoup de vitamines et plus particulièrement de la vitamine C. Or, la vitamine D et la vitamine C sont toutes deux essentielles pour renforcer notre système immunitaire.

    Renforcer son immunité naturellement avec la vitamine D

    La vitamine D3 est synthétisée par notre peau sous l’effet des rayons du soleil. Mais les stocks produits au cours de l’été sont souvent épuisés quand arrive le mois de janvier. Or, la vitamine D joue un rôle essentiel pour éviter les rhumes, la grippe, et les infections ORL ou en diminuer la durée. Il existe clairement une relation entre les variations saisonnières des taux sanguins en vitamine D d’une population et le nombre et la gravité des pathologies infectieuses, en particulier des voies respiratoires.

    En clair : en hiver, par manque de soleil, notre peau ne fabrique plus assez de vitamine D et donc nous sommes moins protégés contre les virus.

    Pour pallier les carences, une supplémentation est très souvent nécessaire. C’est pour cela que notre laboratoire a développé un complément alimentaire qui intervient dans le renforcement naturel de l’immunité. 5 gouttes de QuantaVitD chaque jour vous garantit un statut en vitamine D3 équilibré et suffisant pour renforcer les défenses immunitaires contre les infections ORL hivernales.

    L'importance de la vitamine D dans le renforcement du système immunitaire.

    Booster le système immunitaire grâce à la vitamine C

    L’une des vitamines les plus importantes contenues dans les fruits et légumes est la vitamine C. Elle intervient dans le bon fonctionnement de notre système immunitaire pour nous prémunir des infections hivernales. Ensuite pour nous donner de l’énergie et combattre la fatigue.

    Comme nous ne la fabriquons pas nous-mêmes, il nous faut en consommer chaque jour. Les doses quotidiennes usuelles recommandées vont de 500 mg à 1 gramme de vitamine C par jour pour les adultes. De 200 à 500 mg maximum pour les enfants au-dessus de 10 ans, et jusqu’à 200 mg par jour maximum pour les enfants de 3 à 10 ans. Cependant, le mécanisme d’absorption intestinale de la vitamine C est saturé à partir de 200mg. Il faut donc en prendre plusieurs fois par jour pour atteindre les bonnes concentrations sanguines et renforcer son système immunitaire. Autre solution qui porte ses fruits : opter pour la vitamine C Liposomale.

    Rôle du liposome.

    Un liposome est une microbille dont la membrane est semblable à la paroi de nos cellules. On arrive aujourd’hui à emprisonner la vitamine C à l’intérieur de ces liposomes. On dit que la vitamine C est y « encapsulée ».

    Une fois absorbé, le liposome, petite bille de lipides, n’est pas éliminé dans les urines mais transporté au sein des tissus. Là, comme il est de nature similaire à elle, le liposome traverse tout naturellement la membrane des cellules pour y délivrer la vitamine C.

    Ainsi grâce aux liposomes, la vitamine C est mieux absorbée, puis transportée et libérée là où elle doit agir : au cœur même de vos cellules.

    En plus des vitamines, certains minéraux et oligo-éléments et plus particulièrement le zinc, le sélénium et le fer jouent un rôle important dans l’immunité.

    La vitamine C pour booster l'immunité.

    Les produits de la nature : une solution naturelle pour renforcer son immunité

    Bien évidemment, la nature fournit d’excellents alliés de notre système immunitaire. Découvrez-les ci-dessous.

    L’échinacée, un booster naturel de l’immunité

    Native d’Amérique, l’échinacée est la plante la plus efficace pour renforcer son immunité. Les Amérindiens l’utilisaient pour lutter contre les infections ORL. On en a retrouvé des graines, datant du XVIIème siècle, sur des sites fréquentés par les Sioux Lakotas, rendus célèbres par les chefs Sitting Bull et Crazy Horse. Les colons européens ont vite adopté ce remède. En 1950, l’échinacée faisait encore partie des ingrédients pharmaceutiques du Formulaire National des États-Unis avant de tomber en désuétude en raison de l’arrivée des antibiotiques. Mais contre les virus, les antibiotiques sont inutiles.

    Les bienfaits des produits de la ruche pour renforcer l’immunité naturellement

    La ruche est une source incroyable de nutriments qui aident à prévenir et à combattre les infections :

    • On y trouve la propolis qui est fabriquée par les abeilles à partir de résine et de cire pour colmater l’accès à la ruche. D’où son nom : propolis qui signifie « à l’entrée de la cité ». La propolis sert à empêcher les agents infectieux de pénétrer dans la ruche et contaminer les larves. La propolis a donc des vertus anti infectieuses puissantes.
    • On trouve également la gelée royale qui est le lait des abeilles. C’est avec ce lait qu’elles nourrissent les larves et la reine. La gelée royale offre des propriétés stimulantes et reconstituantes avec une action de prévention des infections. Mais pour cela, Il est indispensable que cette gelée soit fraîche et pure à 100% au moment de son utilisation. C’est exclusivement ce type de gelée royale, certificat d’origine et de qualité à l’appui, que nous utilisons chez PhytoQuant.
    • Le pollen aussi est un merveilleux nutriment de nos cellules, et en particulier celles de notre système immunitaire. Le pollen est d’ailleurs connu pour augmenter le dynamisme général et est traditionnellement conseillé chez les personnes fragiles ou convalescentes.
    Produits de la ruche pour renforcer l'immunité.

    Découvrez la Cure Renfort Immunité de PhytoQuant

    La Cure Renfort Immunité

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    Pour une action durable, il est conseillé de poursuivre la Cure Renfort Immunité pendant 3 mois.

    Docteur Khodja, Phytoquant
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    Comment détoxifier l'organisme ?
    21 mars 2022 | Marie MELAYERS

    Comment détoxifier son corps : 5 solutions naturelles

    Le nettoyage de l’organisme est essentiel pour soulager toutes les fonctions de nos organes. Pour savoir comment détoxifier son corps grâce à des solutions douces et naturelles, il est important de comprendre comment celui-ci s’encrasse. Même avec la meilleure hygiène de vie qui soit, nul ne peut vraiment leur échapper. Présentes dans l’air ambiant, atterrissant dans nos assiettes, les toxines s’insinuent en nous et encrassent les rouages de nos cellules. Cet encrassement se manifeste par des symptômes tels que : fatigue chronique, maux de tête, insomnies, prise de poids, problèmes digestifs ou encore dermatologiques (boutons, irritations, teint brouillé, allergies…).

    Cet encrassement est encore plus important en hiver. Car notre alimentation est plus calorique, plus riche en graisses et en parallèle on bouge moins. On sort moins de chez soi (situation qui s’est aggravée cette année en raison des restrictions dites sanitaires), on fait moins de sport, moins de promenades, moins de jardinage…. Bref, on s’aère moins, on transpire moins, on prend moins de soleil. On s’encrasse, on s’empâte…

    C’est pourquoi, traditionnellement, le printemps est la période du 1er grand nettoyage de l’année. C’est le moment de se « décrasser l’intérieur » en vidangeant les organes émonctoires (intestins, foie, reins, peau, poumons), ces « filtres » chargés d’éliminer les déchets et toxines accumulés.

    Comment détoxifier son corps à la venue du printemps ? Voici nos 5 solutions naturelles pour réussir votre détox printanière.

    1) Détoxifier son corps grâce à la diète de fruits et jus de légumes

    Pour bien détoxifier son corps, il faut arrêter d’encrasser et donc parler de diètes. À partir d’avril, avec l’arrivée de fruits et légumes de saison plus variés et plus colorés, nous allons pouvoir envisager des diètes aux jus de légumes et jus de fruits, riches en nutriments, qui mettent notre système digestif au repos.

    Suivant les possibilités de chacun, on peut envisager une série de 3 à 7 jours de diète. Pour les plus actifs, pour ceux qui ne peuvent pas faire des diètes toute la journée et surtout le midi, on peut proposer : fruits le matin, déjeuner léger à midi et jus de légumes et/ou soupe le soir.

    Dans tous les cas, réduire au maximum les aliments encrassants (aliments d’origine animale et aliments riches en graisses) et consommer des aliments riches en eau et en micronutriments. Et bien entendu, boire beaucoup d’eau et de tisanes en dehors des prises alimentaires.

    Recette de détox naturelle avec du citron.

    2) Eliminer les toxines en pratiquant une activité physique

    Qui dit détox dit forcément activité phytique ! Si le sport est un facteur clé dans l’amélioration de la santé, il est d’autant plus essentiel dans le cadre d’une détox. L’activité physique permet en effet de stimuler les organes et d’activer l’élimination des déchets. Attention cependant à ne prendre aucun risque en pratiquant une activité trop intense du jour au lendemain par exemple. Il est essentiel de bouger sans s’épuiser et surtout de penser à bien s’hydrater. Pour savoir comment détoxifier son corps avec le sport, il est essentiel de s’écouter et d’analyser ses besoins. Les sportifs peuvent facilement poursuivre leurs activités habituelles s’ils en ressentent le besoin ou au contraire diminuer l’intensité des efforts pendant la détox. Et les personnes moins sportives peuvent opter pour des activités douces : la marche, la nage, etc.

    3) Comment détoxifier son corps à l’aide des plantes drainantes ?

    Pour drainer l’organisme en douceur, rien de tel que les solutions naturelles. C’est en tout cas notre philosophie chez PhytoQuant ! C’est pour cette raison que nous développons des compléments alimentaires naturels dont l’action repose sur l’association de diverses plantes aux multiples vertus…

    QuantaDpur+, par sa formule complète et sa teneur en plantes, est un draineur plus puissant que l’Aloe vera dont il est complémentaire. En effet, QuantaDpur+ n’agit pas sur l’intestin mais élimine les toxines via le foie et la vésicule, la peau et les reins ! C’est une association synergique de 5 extraits végétaux – pissenlit, orthosiphon, bardane, romarin et radis noir – sous forme liquide, idéale pour accompagner votre cure détox ou votre cure minceur.

    Une dose de QuantaDpur+ contient 5 grammes de plantes (soit l’équivalent de plus de 12 gélules d’extraits secs de ces plantes). Avec un sachet par jour dans un verre d’eau ou dilué dans une petite bouteille d’eau minérale à boire au cours de la matinée, vous vous assurez d’une détox complète et sereine !

    Association de végétaux aux vertus détoxifiantes.

    4) Utiliser l’Aloe vera, le dépuratif traditionnel

    Nous l’évoquions plus haut, le gel (ou pulpe) d’Aloe vera s’associe parfaitement à une démarche de drainage naturel. Il est lui aussi très hydrique et très riche en micronutriments. Mais, en plus, il va stimuler les émonctoires tout en agissant sur l’intestin. Il draine en même temps qu’il reminéralise ! Il reste donc le produit de référence pour une cure « Détox » efficace et bien tolérée.

    Comment détoxifier son corps avec l’Aloe vera ? PhytoQuant vous invite à découvrir le pouvoir de cette plante reminéralisante aux nombreux bienfaits. Idéalement assimilé sous forme de pulpe, l’Aloe Vera se prend pure ou dilué avec un peu d’eau chaque matin et chaque soir juste avant les repas. Cette plante est un élément clé pour une détox réussie. Attention toutefois car la pulpe d’Aloe vera est un produit frais qui doit se conserver au réfrigérateur une fois le flacon ouvert !

    Plante d'Aloe vera.

    5) Nettoyer l’organisme des métaux lourds

    Comment détoxifier son corps avec une chélation naturelle ?

    On ne peut parler détoxification sans mentionner les métaux lourds tels que l’aluminium, le mercure, le plomb, le nickel, le cadmium, le chrome, le cuivre ou encore le zinc. Si certains d’entre eux sont indispensables à notre organisme et à notre santé (comme le zinc et le cuivre par exemple), ils doivent y être présents en petites quantité. Au-delà d’un certain seuil, les métaux lourds sont tous très toxiques. Le problème c’est qu’ils s’accumulent dans l’organisme et deviennent de véritables poisons au fur et à mesure que le temps passe. Se débarrasser des métaux lourds prend du temps. C’est un processus qui prend plusieurs mois et le mieux est d’être accompagné dans cette démarche par un professionnel de santé. Pour pouvoir évacuer ces métaux lourds, il faut au préalable les « chélater ». C’est-à-dire les piéger dans une structure moléculaire qui permettra ensuite de les éliminer de l’organisme. Certaines plantes comme la chlorophylle, la chlorella, la chicorée, les algues marines sont d’excellents chélateurs.

    La solution PhytoQuant pour une chélation naturelle efficace

    Complément alimentaire pour une chélation naturelle des métaux lourds.

    Pour pallier l’intoxication aux métaux lourds, PhytoQuant a créé Quantakel, une association de chlorophylle et de 6 algues marines. Au-delà d’une simple « chélation », ce complément alimentaire naturel nettoie notre intestin, nos cellules et libère notre organisme des pesticides et autres xénobiotiques.

    Nos conseils pour maximiser les actions de Quantakel dans le cadre d’une détox

    Sa formule impose une prise en dehors des repas pour éviter la chélation des nutriments, des médicaments et autres traitements et optimiser ainsi son action.

    Nous préconisons 1 gélule 10 mn avant les 3 repas pendant un minimum de 3 mois.

    Chouchouter l’intestin et la flore

    Une détoxification efficace ne peut se passer d’un travail sur l’intestin et sa flore. Car le tube digestif est un éliminateur de métaux lourds. Le colon élimine 90% du mercure, tandis que les reins n’en éliminent que 10%. Certains thérapeutes proposent une hydrothérapie du colon dans le cadre d’une cure « détox ». Ce qui n’est pas possible chez tout le monde. Si l’Aloe vera est un bon dépuratif de l’intestin, il est important d’aller plus loin en agissant sur la flore intestinale et sur la détoxification de la lumière intestinale avec ce produit merveilleux qu’est la Chlorophylle.

    Pour conclure…

    A la question « Comment détoxifier son corps », il n’existe pas une seule réponse. Les effets d’une cure détox vont dépendre de votre santé, de l’état de vos émonctoires, de vos motivations personnelles… Le mieux est toujours de demander le conseil et le suivi d’un thérapeute.

    Néanmoins, si les solutions naturelles proposées par notre laboratoire vous intéressent, n’hésitez pas à vous renseigner sur notre programme détox en cure d’un mois :

    • Quantavera : 1 bouchon matin et soir (1 flacon)
    • QuantaDpur+ : 1 sachet par jour (1 boite)
    • Lot confort intestinal (1 lot) :
    • Quantaflore : 2 gélules le matin les jours pairs
    • Quantaphylle : 2 gélules le matin les jours impairs
    Le programme détox de PhytoQuant.

    Une cure « détox » peut être utile à chacun et nous permettre de mieux traverser cette période d’Équinoxe et arriver en pleine forme à la belle saison ! N’hésitez pas à nous contacter pour en savoir sur l’action de ces plantes détoxifiantes qui soulagent et boostent l’organisme…

    Docteur Khodja, Phytoquant
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    Comment lutter contre les jambes lourdes
    21 mars 2022 | Marie MELAYERS

    4 astuces pour retrouver des jambes légères

    L’insuffisance veineuse affecte aujourd’hui de nombreuses personnes. Alors que les symptômes se manifestent de manière plus ou moins importante selon les cas, les recommandations préventives sont les mêmes pour tous. Comment retrouver des jambes légères grâce à des solutions accessibles et naturelles ? Découvrez sans attendre les astuces de notre Pharmacien Frédéric Khodja.

    Astuce n°1 pour retrouver des jambes légères : Bougez !

    Dans le règne animal, seul l’être humain est touché par l’insuffisance veineuse. Car les problèmes de retour veineux sont directement liés à notre condition de bipède. En effet, faire remonter le sang des orteils au cœur, c’est un peu comme faire refluer l’eau d’une rivière de la plaine au sommet d’une montagne. C’est pourquoi l’insuffisance veineuse touche surtout les jambes : c’est là que le sang a tendance à stagner. Ce qui entraîne pesanteur, douleurs, dilatation des veines, œdèmes.

    Pour « pomper » le sang du niveau du sol et le faire remonter jusqu’au cœur, nous disposons d’outils. La voute plantaire chasse le sang vers le haut à chaque fois que nous posons le pied au sol, et les contractions des muscles des jambes pompent le sang veineux vers le haut.

    Dès lors, marcher 45 minutes chaque jour est encore le meilleur moyen d’activer ces 2 mécanismes et de retrouver des jambes légères.

    La marche pour lutter contre l'insuffisance veineuse.

    Il faut absolument éviter d’être trop statique comme nous l’avons été ces derniers mois en raison du confinement. Rester assis, surtout jambes croisées, ou debout trop longtemps favorise la stagnation du sang. Il suffit de quelques pas pour remettre les mécanismes de pompage en marche. Si ce n’est pas possible (comme c’est le cas dans certaines professions : vendeuse, coiffeuse, infirmière…) il faudra songer à porter des bas de contention pour retrouver des jambes légères.

    Astuce n°2 : des jambes légères grâce à l’hygiène alimentaire

    Il n’existe pas de régime « spécial jambes lourdes ». Cependant une bonne hygiène alimentaire est indispensable.

    En premier lieu, halte au surpoids. Les kilos superflus pèsent sur vos jambes, et la masse graisseuse comprime les veines ce qui handicape le retour sanguin. Il faut donc limiter les sucres et le sel qui provoquent de la rétention d’eau et favorise les œdèmes et la cellulite. On évitera aussi les graisses animales, et on fera la part belle aux oméga3 qui fluidifient le sang, nourrissent les parois veineuses et aident à retrouver des jambes légères.

    Nourriture riche en omégas3 pour retrouver des jambes plus légères.

    Ensuite, on limitera le café, le tabac et, en cas de terrain hémorroïdaire, les plats épicés et le chocolat. N’oubliez pas non plus de boire au minimum 1,5 litre d’eau, cela favorise le drainage des tissus.

    Astuce n°3 : Et si vous changiez vos habitudes ?

    Méfiez-vous de la chaleur

    Tout d’abord, pour avoir des jambes légères il conviendra d’éviter les fortes sources de chaleur telles que : bains trop chauds, sauna, épilation à la cire chaude. En effet, la chaleur dilate les veines et favorise l’insuffisance veineuse. En revanche, terminer sa toilette par un bon jet d’eau froide sur les jambes ne peut être que bénéfique.

    Prêtez attention à ce que vous portez !

    Pour retrouver des jambes légères, il faut également éviter les tenues vestimentaires qui handicapent le bon retour veineux : vêtements moulants, bottes serrées, talons trop hauts ou trop plats qui empêchent la voute plantaire de jouer pleinement son rôle.

    Les bonnes habitudes pour des jambes légères

    II est également conseillé de dormir les jambes légèrement surélevées grâce à une cale sous les pieds du lit. Vous faciliterez ainsi le retour veineux pendant 8 heures.

    Enfin, un massage des jambes, du bas vers le haut, permet de soulager et de stimuler la circulation veineuse. Songez pour cela à l’aromathérapie qui développe des solutions naturelles afin de favoriser le retour des jambes légères. Notre laboratoire PhytoQuant propose par exemple QuantaveinoGEL, un gel basé sur les propriétés veinotoniques et rafraîchissantes des huiles essentielles (Cèdre de l’Atlas, Immortelle italienne, laurier noble, Cyprès, Menthe). Celles-ci sont tout simplement diluées dans du gel d’aloé vera pur à appliquer directement sur la peau.

    Conseil n°4 : Pensez à la phytothérapie

    Ils ne sont plus pris en charge par l’assurance maladie, mais les seuls médicaments efficaces contre l’insuffisance veineuses sont tous à base de plantes. Fragon-Petit Houx ou Gingko biloba ou Hamamélis ou Vigne rouge ou Marronnier d’Inde… Ces plantes sont regroupées dans la catégorie des veinotoniques. Les veinotoniques limitent la dilatation des veines et calment les inflammations.

    Pour l’insuffisance veineuse des membres inférieurs, les cures sont en général de trois mois et doivent se renouveler 2 fois par an. Car, si les plantes agissent sur les symptômes, elles ne guérissent pas les affections du retour veineux.

    Pour les poussées hémorroïdaires, en cure d’attaque, les doses de veinotoniques sont souvent doublées par les médecins pendant 5 à 8 jours, pour une action plus puissante et plus rapide.

    Quantacircu+, associe les extraits aqueux de 4 plantes veinotoniques (Marronnier d’Inde, Gingko biloba, Fragon-Petit Houx et Hamamélis) soit un concentré de près de 5 grammes de plantes par dose quotidienne de 10 ml (soit l’équivalent de 10 gélules d’extrait secs de ces mêmes plantes). A diluer dans un verre d’eau le matin ou dans une petite bouteille d’eau à boire au cours de la journée pour retrouver une sensation de jambes légères rapidement.

    PhytoQuant vous accompagne

    Vous avez des questions ? Contactez-nous !

    Nos conseillers et notre pharmacien sont là pour vous guider vers des solutions naturelles qui vous aideront à retrouver des jambes légères et fines. Retrouvez nos coordonnées ci-dessous :

    • N° Vert : 0805.11.03.27
    • Mail : info1@phytoquant.mc
    • Site : www.phytoquant.net
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    Bronzer sur la plage.
    15 mars 2022 | Marie MELAYERS

    Comment garder son bronzage en 4 étapes

    Enfin Libres ! Libres de profiter de l’été́, des terrasses ensoleillées, du plein air et de la plage. Mais, n’oubliez pas qu’il est impératif de préparer et de protéger votre peau des agressions du soleil.

    Comment garder son bronzage plus longtemps ? Voici mes 4 recettes pour bronzer sans danger et conserver une belle mine même après vos vacances.

    Les aliments qui protègent du soleil

    Jus et fruits d'été pour conserver son bronzage.

    Vous le savez, les fruits et légumes sont riches en antioxydants. Comme les vitamines A, C et E et les flavonoïdes. Ces antioxydants neutralisent les radicaux libres créés par les rayons UV et qui provoquent le vieillissement et la dégénérescence de la peau. Les fruits et les légumes sont donc nos meilleurs alliés l’été ! Ça tombe bien, c’est la saison des salades et des jus de fruits ! Alors, n’hésitez pas à mettre de la couleur dans votre assiette et dans vos verres. Mais attention, les antioxydants sont des molécules très fragiles. Il faut consommer des fruits et légumes crus et ultra frais.

    Pour plus de sécurité, il est possible d’opter pour QuantaOx, une formule naturelle qui combine 13 antioxydants végétaux. 1 stick par jour tout au long de l’été vous aidera à mieux lutter contre les effets néfastes du soleil. Vous pouvez ainsi bronzer sans prendre le risque d’accélérer le vieillissement prématuré de l’épiderme !

    Comment garder son bronzage grâce à une bonne hydratation ?

    Hydratation de la peau pour garder son bronzage

    Déjà, en temps normal, il faut hydrater notre peau. Et c’est évidemment encore plus vrai l’été. L’exposition au soleil dessèche l’épiderme. Dartres, desquamation, peau qui pèle… Les effets sont immédiats. Pour savoir comment garder son bronzage grâce à quelques astuces beauté, suivez nos conseils :

    • Pour le visage, qui est la partie la plus exposée, il ne faut pas hésiter à réaliser un gommage une à deux fois par semaine et à recourir à une crème de nuit régénératrice.
    • Pour la toilette du corps choisissez un gel douche hydratant, puis après vous être séchée, nourrissez votre peau avec un lait ou mieux une huile hydratante.
    • Après chaque exposition prolongée, n’oubliez pas d’apaiser votre peau avec un soin après-soleil.
    • Enfin, n’oubliez pas de boire régulièrement tout au long de la journée !

    L’indispensable protection solaire

    Application d'une protection solaire pour bronzer sans danger.

    Je sais, la période des vacances est courte et on veut profiter du soleil sans tarder ! Et, c’est le coup de soleil assuré ! Soyez patients et votre bronzage n’en sera que plus réussi ! La première semaine, exposez-vous par périodes brèves de 20 à 40 minutes en évitant le soleil entre midi et 16 heures. Cette méthode permettra à la peau de s’adapter progressivement, de fabriquer de la mélanine pour garder son bronzage durablement. Dès les premières expositions et tout au long de l’été mettez une protection solaire. Non cela ne vous empêchera pas de bronzer ! Mais ça vous évitera de bruler ! Et, ainsi, votre bronzage sera progressif, harmonieux et durable ! Pour découvrir comment garder son bronzage en utilisant une protection solaire adaptée, retrouvez plus de conseils de notre pharmacien sur le blog de PhytoQuant.

    Comment garder son bronzage à l’aide des bons nutriments ?

    Huile de bourrache pour booster le bronzage.

    Vous trouverez sur le marché bon nombre de compléments alimentaires prolongateurs de bronzage en général à base de caroténoïdes. Mais pensez également aux acides gras ! Rien de tel que des capsules de bourrache ou d’onagre pour garder une peau souple et conserver votre joli teint d’été.

    Voilà, vous êtes fins prêts pour partir en vacances à la mer, à la campagne ou à la montagne en toute sécurité et vous avez toutes clés en main pour garder votre bronzage plus longtemps !

    Je vous souhaite à toutes et à tous un très bel été !

    Joséphine Secolo

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    Quelle protection solaire choisir ?
    14 mars 2022 | Marie MELAYERS

    Quelle protection solaire pour ma peau ?

    A chaque peau, à chaque situation, il existe une protection solaire adaptée. Mais comment s’y retrouver et faire son choix ? Découvrez tous nos conseils pour choisir une protection solaire adaptée à votre peau.

    Focus sur l’indice de protection

    Comprendre les sigles des protections solaires

    La protection d’un produit solaire est signalée par un symbole IP, SPF ou FPS suivi d’un chiffre ou d’un nombre. Rassurez-vous tous ces sigles ont la même signification. IP signifie « Indice de Protection », FPS « Facteur de Protection Solaire » et SPF est la version anglophone qui veut dire « Sun Protection Factor ». Mais, en fin de compte, le résultat est le même : une crème qui possède un IP 50 sera équivalente à une crème SPF 50.

    Choisir une protection solaire adaptée à sa peau.

    L’indice de protection pour une peau protégée

    La protection permet de s’exposer plus longtemps sans brûler. Ainsi, si d’ordinaire on attrape un coup de soleil en 15 minutes sans protection, une crème avec un indice 20 devrait théoriquement multiplier par 20 le temps d’apparition d’un coup de soleil. Soit dans notre exemple : 20 x 15’ = 300 minutes (5 heures !!!).

    Ceci est évidemment très théorique. Les conditions de laboratoire n’étant pas celles de la vie de tous les jours… Ne rêvez pas : une seule application d’une crème indice 20 ne vous permettra pas de vous exposer 5 heures en plein soleil sans brûler ! Votre protection dépendra de la quantité de crème appliquée et de sa persistance sur la peau (serviette, baignade, frottements du sable enlèvent votre protection…). En conditions réelles, la protection est bien inférieure à celle affichée par l’indice du produit. C’est pourquoi, il faut répéter les applications généreuses toutes les deux heures et après chaque baignade pour se rapprocher de la protection affichée sur le produit.

    Carnation : quelle protection solaire pour ma peau ?

    Les indices de protection s’étendent de 6 à 50. Au-delà même de la durée d’exposition, le premier critère de choix de votre indice est la carnation de votre peau.

    Une protection solaire pour chaque couleur de peau.

    Quelle protection solaire pour ma peau claire ?

    • Pour les personnes rousses et blondes avec une carnation très claire et les enfants, un produit avec un SPF 50 et 50+, les plus élevés, sont indispensables.
    • Les peaux claires, ou lors des premières expositions, une haute protection avec un indice compris entre 30 et 50 est requise.

    Quelle protection solaire pour ma peau mate ?

    Un indice moyen situé entre 15 et 25 convient aux peaux mates, sombres ou déjà bronzées.

    Une protection solaire adaptée à mon type de peau

    La peau du visage, celle du corps, sont différentes. Certains ont la peau sèche, d’autres grasses. La texture du produit solaire est donc à prendre en considération.

    Quelle protection solaire choisir pour ma peau sèche ? Pour les peaux sèches et plus généralement pour le visage, une crème riche et hydratante procure plus de confort et prévient le dessèchement. Le corps requiert une texture fluide plus aisée à appliquer uniformément. Après chaque exposition, prenez une douche fraîche et n’oubliez pas d’apaiser votre peau avec un soin après-soleil.

    Une protection solaire pour toute la famille..

    Les derniers conseils de PhytoQuant

    Une crème solaire ne filtre pas entièrement les rayons UV. Pour une protection optimale, dès que possible :

    • Portez des vêtements légers larges et couvrants, un chapeau et des lunettes de soleil. Ceci est vraiment impératif pour les enfants.
    • Ne vous exposez pas entre midi et 16 heures quand le rayonnement solaire est le plus intense.
    • Appliquez votre protection solaire sur l’ensemble de votre corps et sur le visage. Répétez ces gestes toutes les 2 heures et après vous être baigné, avoir joué (transpiration), vous être allongé sur une serviette éponge… conservez ces rituels même quand le temps est couvert car les rayons UV traversent les nuages.

    Vous voilà prêts pour de belles vacances ensoleillées.

    Docteur Khodja, Phytoquant
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    Huile végétale bio
    13 mars 2022 | Marie MELAYERS

    Quanta’Life : votre nouvelle génération d’huile de table

    Depuis 2009, date de commercialisation de notre huile Kousmi’Life, les recommandations nutritionnelles de référence des lipides et plus particulièrement des acides gras ont évolué.

    C’est en tenant compte de ces nouvelles données que nous avons fait évoluer notre huile de table qui s’appelle désormais Quanta’Life. Dans le but de continuer à vous apporter une alimentation saine et équilibrée, non industrielle, pour votre bien-être et pour votre santé.

    Des acides gras de qualité, directement dans l’assiette !

    QuantaLife, une huile végétale riche en omega3

    Ce qui n’a pas changé en 10 ans, c’est que les Français consomment toujours plus de lipides, en trop grosses quantités. Et notre alimentation est toujours trop pauvre en acides gras de qualité ! Et même les apports de bons acides gras sont devenus dangereusement déséquilibrés. Ainsi, alors que nos repas devraient nous fournir 4 fractions d’oméga6 pour une fraction d’oméga3, l’alimentation moderne apporte 11 fois plus d’oméga6 que d’oméga3 ! Pour contrebalancer cette tendance malsaine, Quanta’Life propose un rapport oméga6/oméga3 encore plus optimisé car rabaissé à 1,5.

    Nous avons décidé également de faire évoluer notre recette avec des origines végétales plus locales. Nous avons renoncé aux ingrédients allergènes comme la noix, et avons innové en introduisant une graine méconnue : l’huile de chanvre que nous nous procurons auprès d’une filière courte artisanale française.

    L’alliance de 4 huiles végétales aux nombreuses vertus

    Quanta’Life est un mélange de 4 huiles biologiques : huile de chanvre, colza, cameline et olive (riche en oméga 9) très bien pensé, très équilibré, très agréable au goût et surtout très complet ! Jugez plutôt : 1 seule cuillère à soupe de Quanta’Life, à utiliser à froid pour assaisonner/ agrémenter vos recettes/plats, suffit à vous apporter tous les omégas 3 d’origine végétale dont vous avez besoin chaque jour ! Les poissons ou des compléments alimentaires comme Quantaomega3 compléteront cet apport avec des omégas 3 à longue chaine, les fameux EPA et DHA qui protègent votre cœur, votre cerveau, vos yeux et plus encore !

    Une démarche artisanale, écoresponsable et sociale

    Fidèles à notre éthique de qualité et de responsabilité, nous avons choisi de confier la production de Quanta’Life à notre huilier en Ardèche. Une entreprise à taille humaine qui possède la maîtrise complète de la chaîne de production et un savoir-faire unique. Une production artisanale et locale, gage d’authenticité et de saveur pour cette huile biologique, vierge, de première pression à froid.

    Cette huile merveilleuse, nous avons voulu vous la présenter dans un joli écrin réutilisable. A l’occasion d’un de mes séjours de ressourcement dans ma terre natale dans le sud de l’Italie, c’est en visitant une poterie artisanale que m’est venue l’idée de mettre l’huile Quanta’Life dans une bouteille en céramique émaillée. Chaque année, pour les collectionneurs, Quanta’Life sera proposée dans une nouvelle livrée, une nouvelle poterie unique et originale, puisque réalisée à la main. Et, comme tradition et écoresponsabilité ne sont pas contradictoires, j’ai voulu vous permettre de remplir ce flacon à volonté en proposant Quanta’Life en poches souples hermétiques de 1,5 L munies d’un robinet.

    Enfin, pour le conditionnement final de nos bouteilles en céramique j’ai fait appel à une association voisine, l’AMAPEI (Association Monégasque pour l’Aide et la Protection de l’Enfance Inadaptée) avec qui nous avons le grand plaisir de collaborer !

    Voilà comment et pourquoi est née Quanta’Life qui, je le sais, trônera au centre de votre table pour votre régal, votre bien-être, votre équilibre et celui de votre famille.

    Nicola Frassanito

    Pour en savoir plus :

    Dossier Les lipides du 23 mars 2021 de l’Agence Nationale de Sécurité Sanitaire des Aliments

    Facebook AMAPEI

    Huile de chanvre : Composition, utilisations, bienfaits

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    La vitamine C pour booster l'immunité
    10 mars 2022 | Marie MELAYERS

    En période de pandémie, la vitamine C fait ses preuves

    C’est la rentrée. Nous espérions tous qu’elle nous apporterait un peu de légèreté et de liberté. Mais le futur est toujours incertain. Et sans doute pour plusieurs années. Or, il apparait que beaucoup de personnes, illusionnées par le mirage du totem d’immunité que confèrerait la vaccination, se relâchent. Dès lors, l’automne et l’hiver prochains pourraient se révéler tragiquement désenchanteurs. Il me tient à cœur de convaincre le plus grand nombre à ne pas baisser la garde et c’est mon devoir de vous aider à consolider vos défenses. Et votre premier rempart, c’est votre système immunitaire. De nouvelles études viennent de révéler l’intérêt extraordinaire de la vitamine C dans cette période de pandémie.

    La vitamine C pour renforcer l’immunité

    Bien sûr, la vitamine C renforce le système immunitaire. Mais elle possède également des vertus moins connues. C’est le plus puissant des antioxydants et elle possède des propriétés anti-inflammatoires, antivirales et antithrombotiques ! C’est dire combien elle peut être utile en cette période !

    Mon ami Georges Scudeller, avec le soutien du GETCOP1, a publié une étude remarquable2 qui est parue dans la revue médicale HEGEL : « La vitamine C et le SARS COV-2 ». L’auteur nous fait découvrir que, dans certaines situations, des doses massives de vitamine C (6 à 24 g / 24h sous forme injectable, en milieu hospitalier) sont très utiles en cas d’atteintes graves. Et, il recommande la prise de 2 à 3 grammes de vitamine C par jour par voie orale en prophylaxie pour toutes les personnes à risque.

    Vous le savez, la vitamine C liposomale permet à la fois une meilleure absorption intestinale de la vitamine C et sa pénétration au cœur des cellules. Pour suivre ces recommandations il est souvent nécessaire d’opter pour une supplémentation – soit une dose de 5 à 8 gélules de vitamine C par jour selon les cas. Pour être sûr de passer un automne en toute sécurité, 6 à 12 boites de QuantaVitC liposomale sont suffisantes.

    En complément : la vitamine D pour lutter contre les virus de saison

    L’autre vitamine indispensable est la vitamine D. Dès que l’ensoleillement baisse, et que nos vêtements couvrent notre corps, notre peau n’est plus en mesure de fabriquer de la vitamine D. Or, la vitamine D joue un rôle essentiel pour éviter les rhumes, la grippe, et les infections ORL ou en diminuer la durée. Dès l’automne, par manque de soleil, notre peau ne fabrique plus de vitamine D et donc nous sommes moins protégés contre les virus. Il nous faut donc nous procurer cette vitamine autrement. La forme la plus assimilable par l’homme est la vitamine D3, qui est la forme synthétisée et utilisée par les animaux.

    Avec QuantaVitD, 5 gouttes chaque jour sont la garantie d’un statut en vitamine D3 équilibré et suffisant pour renforcer vos défenses immunitaires contre les infections ORL hivernales.

    Nicola Frassanito

    Références :

    1. GETCOP : Groupe d’Evaluation des Thérapies Complémentaires Personnalisées.
    2. Georges Scudeller – LA VITAMINE C ET LE SARS COV-2– ALN éditions Hegel – 2021/2 N°2 – DOI : 10.3917/heg.112.0132.
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    Comment booster son immunité
    10 mars 2022 | Marie MELAYERS

    Zinc + probiotiques : le ticket gagnant pour booster l’immunité !

    L’automne est là. Vous le savez, c’est le moment de renforcer votre système immunitaire. Aujourd’hui, nous allons vous faire découvrir deux atouts absolument indispensables pour prévenir et affronter les infections hivernales. Le premier est issu du monde minéral, le second appartient au règne du vivant.

    Le zinc

    Le zinc est un oligo-élément. C’est à dire un nutriment minéral dont notre corps a besoin en toute petite quantité. Il n’est présent qu’à l’état de traces dans notre organisme qui n’en contient qu’environ 2 grammes en tout et pour tout. Pour cette raison, pendant très longtemps, on a négligé son intérêt dans le domaine de la santé humaine qui n’a été découvert que dans les années 1960. On a ainsi découvert que le zinc, puissant antioxydant, est aussi un facteur indispensable à plus de 200 processus enzymatiques vitaux.

    Ses propriétés, font que de nombreuses recherches sont en cours sur son utilité dans diverses pathologies (dépressions nerveuses, DMLA, diabète…). Mais, aux doses alimentaires, le zinc a surtout prouvé son intérêt au niveau des cheveux et de la peau, en particulier dans le traitement de l’acné et du psoriasis, dans la prise en charge des troubles de la vision, du goût et de l’odorat, et dans son rôle contre les infections. C’est ce dernier aspect que nous aborderons ici.

    Les effets d'une carence en Zinc

    Le rôle du zinc dans l’immunité et contre les infections

    Ce sont les légères carences en zinc, très souvent observées chez les personnes âgées, qui ont permis de décrypter le rôle essentiel du zinc dans quasiment tous les processus immunitaires.

    Illustration du système immunitaire.

    Le zinc nous permet de synthétiser des anti-inflammatoires – les prostaglandines – qui vont lutter, par exemple, contre l’inflammation de la muqueuse nasale en cas de rhume viral ou de rhume des foins. Ensuite, le zinc favorise la production et l’activation de certains globules blancs : les macrophages et les lymphocytes T. Ces derniers sont chargés d’éliminer les virus, bactéries ou autres intrus dangereux. Dans un deuxième temps, ils envoient un signal aux lymphocytes B qui vont créer des anticorps spécifiques au pathogène détecté.

    L’action sur le système immunitaire du zinc est donc triple : anti-inflammatoire, anti-infectieuse et activation de la synthèse d’anticorps.

    Quand on manque, ne serait-ce que légèrement, de zinc on est plus souvent atteint par les infections virales ou bactériennes, les symptômes en sont plus graves et on guérit moins vite.

    Ainsi, pris dès les premiers symptômes, le zinc diminuerait la durée et la gravité du rhume. Une prise de zinc pendant 5 mois à titre préventif, réduirait le nombre de rhumes ainsi que la quantité d’antibiotiques prescrits chez les enfants. Lors de ces études, seuls le gluconate et l’acétate de zinc auraient montré une action antivirale.

    Aux USA, des experts ont recommandé la supplémentation en zinc dans le cadre de mesures préventives en cas de survenue de pandémie de grippe H1N1. Ils se sont appuyés sur des études qui démontrent que le zinc provoque l’autodestruction (apoptose) des cellules infectées par le virus de la grippe, ce qui facilite leur phagocytose par les globules blancs. Ce qui empêche la duplication du virus et sa propagation dans l’organisme.

    Chez des personnes âgées résidant en EHPAD, un déficit en zinc a été corrélé avec la survenue, la gravité et la durée de pneumonies.

    Des recherches initiées par l’OMS, ont montré qu’une supplémentation en zinc diminuait la survenue de deux types d’infections infantiles gravissimes dans les pays en voie de développement : les diarrhées et les infections respiratoires.

    Enfin, une supplémentation en zinc permet de renforcer le système immunitaire face à une mycose, qu’elle soit sur la peau, les ongles ou vaginale.

    Les déficits en zinc touchent 1 français sur 2

    L’organisme ne peut pas stocker le zinc, ce qui implique des apports réguliers. Les apports journaliers recommandés en zinc pour les adultes sont de 8 mg pour les femmes et 10 mg pour les hommes. C’est très peu. Et cependant, en France, comme dans toutes les sociétés occidentales, les carences légères en zinc touchent 1 personne sur 2 ! Dans l’étude Val-de-Marne (1989), 18 à 25 % des enfants, 25 à 50 % des adolescentes et hommes adultes, et 57 à 79 % des adolescentes et femmes adultes ne recevaient pas les 2/3 des apports recommandés en zinc.

    Sous forme de sel minéral, le zinc pénètre mal dans le corps. Il est mieux absorbé sous forme organique, celle des animaux. Les aliments qui fournissent le plus de zinc sont donc : les fruits de mer, les abats, la viande, et les fromages comme le maroilles ou le morbier.

    Les aliments qui ont une forte teneur en Zinc.

    Or, on ne mange plus d’abats de viande (foie, cœur…). Notre alimentation devient de plus en plus végétarienne, et on fuit les produits laitiers. De plus, les techniques agricoles modernes appauvrissent les sols et donc les cultures en zinc. Enfin, la part de plus en plus importante des céréales dans notre alimentation a pour effet de nous faire consommer plus de phytates qui diminuent l’absorption intestinale du zinc.

    Les personnes les plus susceptibles de manquer de zinc sont les végétaliens, les personnes ayant subi une chirurgie contre l’obésité, celles souffrant d’un défaut d’absorption de ce minéral en raison d’une maladie inflammatoire intestinale ou d’un excès de perte par fuite urinaire du zinc (en cas de diabète, d’hypercatabolisme protéique, maladie rénale). Ce qui explique les carences en zinc observées chez les personnes âgées.

    Or, un déficit en zinc peut entraîner une diminution des fonctions immunitaires (infections fréquentes et blessures qui guérissent mal), des troubles de l’odorat et du goût, une baisse de la fertilité masculine, des dermatites, de la diarrhée, une dépression, une perte de poids, de l’irritabilité. Et aggraver les maladies cardiovasculaires, les diabètes…

    Comment bien se supplémenter en zinc ?

    Une supplémentation sécuritaire de 15 mg pour un adulte et de 7,5mg pour un enfant au-dessus de 10 ans est donc recommandée pour rendre son système immunitaire performant jusqu’au printemps.

    Mais quelle forme de zinc choisir ? Car, il existe beaucoup de sels de zinc sur le marché : oxyde, sulfate, citrate, acétate…

    Formule du Zinc.

    Il faut absolument privilégier une forme organique de type acétate ou gluconate qui sont les plus assimilables (les sels minéraux comme l’oxyde de zinc l’étant très peu). Toutes les études cliniques, et les médicaments, font majoritairement appel au gluconate de zinc dont l’absorption, la distribution dans l’organisme, l’activité et l’efficacité sont très copieusement documentées. C’est, à mes yeux, le gluconate de zinc qui présente les meilleures garanties.

    Probiotiques et immunité

    Notre tube digestif contient des milliards de bactéries qui forment notre microbiote ou flore intestinale. Les ferments lactiques comptent parmi les principaux probiotiques. Ils ne proviennent pas du lait et n’en contiennent pas. Leur nom vient du fait que ces bactéries décomposent un sucre, le lactose, qu’on trouve dans le lait. Cette propriété fait qu’elles sont utilisées dans la production de yogourt d’où leur nom de ferments lactiques. Les principaux ferments lactiques qui peuplent notre flore sont le genre lactobacillus et le genre bifidobacterium.

    Illustration du microbiote intestinal qui agit sur l'immunité.

    On connait depuis longtemps le rôle immunitaire des probiotiques au niveau du tube digestif. D’ailleurs, 70 % des cellules immunitaires de notre corps sont situées dans l’intestin, ce qui illustre bien l’importance du système immunitaire intestinal. Il apparait aujourd’hui que l’interaction des probiotiques avec le système immunitaire ne se limite pas à l’appareil digestif. Les résultats de plusieurs essais cliniques indiquent que les bactéries lactiques stimulent la production de divers anticorps dans l’organisme humain. Par exemple, des suppléments de Lactobacillus GG ont procuré une protection légère, mais significative, contre les infections du système respiratoire.

    Notre solution ? QuantaZinc !

    Pour un renfort optimal de votre immunité, PhytoQuant innove en associant du zinc et 2 souches microbiotiques.

    Pendant l’automne et l’hiver, QuantaZinc vous apportera chaque jour :

    • 15 mg de zinc sous forme de gluconate hautement assimilable.
    • 10 milliards de probiotiques (lactobacilus reuteri + bididobcatrium longum).
    Compléments alimentaires naturels riches en zinc et probiotiques.

    QuantaZinc vous sera utile dans toutes les situations de prévention, d’accompagnement ou de convalescence d’infections (ORL, cutanés, gastro-intestinales…). QuantaZinc pourra être aussi utilisé pour les problèmes de peau (acné, dermatite, psoriasis), les troubles du goût et de l’odorat, et pour améliorer la vision crépusculaire. N’hésitez pas à demander conseil auprès de votre praticien de santé. Vous pouvez découvrir 20 solutions naturelles et les 5 règles d’or pour renforcer votre immunité en téléchargeant notre GUIDE DE L’IMMUNITE 2022.

    Références :

    1. Modulating the immune response by oral zinc supplementation: a single approach for multiple diseases. Overbeck S, Rink L, Haase H. Arch Immunol Ther Exp (Warsz). 2008 Jan-Feb;56(1):15-30. Review.
    2. ES. Wintergerst & al. Contribution of selected vitamins and trace elements to immune function. Ann Nutr Metab. 2007; 51: 301-23
    3. Zinc for the common cold. Singh M, Das RR. Cochrane Database Syst Rev. 2011 Feb 16;2:CD001364.
    4. https://www.passeportsante.net/fr/Solutions/PlantesSupplements/Fiche.aspx?doc=zinc_ps
    5. Srivastava V. et al. « Influenza A virus induced apoptosis: Inhibition of DNA laddering & caspase-3 activity by zinc supplementation in cultured HeLa cells » Indian J Med Res. 129, May 2009, p. 579-586
    6. Meydani SN et al. Serum zinc and pneumonia in nursing home elderly. Am J Clin Nutr 2007;86:1167–73.
    7. Roth DE et al. « Acute lower respiratory infections in childhood: opportunities for reducing the global burden through nutritional interventions » Bulletin of the World Health Organization 2008;86:356–364.
    8. Cross ML. Immunoregulation by probiotic lactobacilli: pro-Th1 signals and their relevance to human health Clin Appl Immunol Rev 2002; 3: 115–25. Cité dans : Haddad PS, Azar GA, et al. Natural health products, modulation of immune function and prevention of chronic diseases. Evid Based Complement Alternat Med. 2005 Dec;2(4):513-20. Texte integral :
    9. Gill HS, Rutherfurd KJ, et al. Enhancement of immunity in the elderly by dietary supplementation with the probiotic Bifidobacterium lactis HN019Am J Clin Nutr 2001; 74: 833–9.
    10. Probiotics and immunity. Borchers AT, Selmi C, et al. J Gastroenterol. 2009;44(1):26-46. Epub 2009 Jan 22. Review.
    11. Arunachalam K, Gill HS, Chandra RK. Enhancement of natural immune function by dietary consumption of Bifidobacterium lactis (HN019).Eur J Clin Nutr. 2000 Mar;54(3):263-7.
    12. Sheih YH, Chiang BL, et al. Systemic immunity-enhancing effects in healthy subjects following dietary consumption of the lactic acid bacterium Lactobacillus rhamnosus HN001.J Am Coll Nutr. 2001 Apr;20(2 Suppl):149-56.
    13. Hatakka K, Savilahti E, et al. Effect of long term consumption of probiotic milk on infections in children attending day care centres: double blind, randomised trial.BMJ. 2001 Jun 2;322(7298):1327. Texte intégral : http://bmj.bmjjournals.com
    14. Impact of the administration of probiotics on the incidence of ventilator-associated pneumonia: a meta-analysis of randomized controlled trials. Siempos II, Ntaidou TK, Falagas ME. Crit Care Med. 2010 Mar;38(3):954-62.
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