découvrez les secrets de la fabrication durable de compléments alimentaires naturels de la marque PhytoQuant
9 février 2024 | Frédéric Khodja

De la plante à votre gélule, voyage dans les coulisses de la fabrication des produits PhytoQuant

Soyons clairs : rien ne ressemble autant à une gélule qu’une autre gélule. A l’œil nu du moins. Car en réalité, elles n’ont souvent rien à voir. Pas facile donc de savoir ce qui fait la qualité d’un produit. C’est pourquoi nous avons souhaité vous expliquer quelle est la spécificité des compléments alimentaires PhytoQuant.

La première particularité de la marque tient en un mot : « exigence », vis-à-vis des utilisateurs. Et au sens propre comme au sens figuré, cette exigence rime avec la « conscience » du travail bien fait

Un berceau en Emilie-Romagne

C’est en Italie, dans la région d’Emilie Romagne, que se trouve le berceau de fabrication de nos produits. De très nombreuses plantes y sont cultivées, dans le cadre d’une gigantesque propriété privée. Elles poussent de façon « spontanée » , autrement dit, sans engrais et sans pesticide, autrement dit, sans aucun traitement. On y trouve de la lavande, du romarin, de l’aubépine, de la mélisse, du laurier et de la grenade, aux côtés des chênes, des peupliers, des acacias ou encore des oliviers. De l’aloé vera à l’ortie, chaque végétal possède des vertus bienfaisantes. Ici, il y a aussi des ruches, car les abeilles sont importantes pour la pollinisation des fleurs. 

Dans la mesure où il n’est pas possible de tout cultiver sous nos climats, certaines plantes sont importées depuis l’Himalaya, le Cameroun ou ailleurs.  

Séchage, broyage, tamisage : les premières étapes

Qu’elles proviennent du domaine agricole situé à quelques kilomètres ou de cultivateurs partenaires du bout du monde, les plantes médicinales sont répertoriées et placées en zone d’isolement. Elles sont triées et inspectées au peigne fin. Puis, des échantillons sont prélevés et transmis à des laboratoires certifiés indépendants pour procéder à des analyses. L’objectif est de s’assurer que la matière première végétale est irréprochable, tant au niveau de sa qualité que de son innocuité.

En effet, il faut s’assurer de l’absence de tout agent toxique comme des pesticides ou des métaux lourds, mais aussi de germes pathogènes ou de toxines. De même le taux de radioactivité est systématiquement contrôlé. Quand les laboratoires délivrent leur certificat de conformité, les lots de plantes sont validés et peuvent rejoindre la zone de production.

Séchage, broyage, tamisage des ingrédients naturels utilisés pour la fabrication des compléments alimentaires PhytoQuant

Là, les plantes sont tout d’abord coupées, séchées, puis tamisées plusieurs fois. Il s’agit d’éliminer les petites pierres, les cailloux, des résidus de métal… De tamis en tamis, la poudre obtenue va passer à l’étape finale du « tamisage par vibration » pour achever d’enlever toutes les impuretés et être totalement purifiée. Elle est prête à l’emploi !

Extraction par ultrasons et déshydration à froid

La méthode de fabrication des produits PhytoQuant est originale et unique dans le monde des compléments alimentaires. En premier lieu pour obtenir des extraits végétaux, aucun solvant chimique n’est utilisé.

Eau Grandeur et l'eau vitalisée utilisée pour fabriquer les compléments alimentaires naturels phytoquant

On ne recourt qu’à de l’eau Grander. Cette eau vitalisée est acheminée dans une cuve. Les plantes sont plongées dans cette cuve et dans un lent mouvement rotatif se mélangent à l’eau. Autour de la cuve, sont placés des générateurs d’ultrasons. Un programme informatique permet de produire des gammes d’ultrasons spécifiques à chaque type de végétal.

Les ultrasons sont émis dans la cuve. Par un phénomène qu’on appelle « cavitation »,  peu à peu, la paroi des cellules végétales se rompt et libère l’intégralité de son contenu dans l’eau.

 « La cellule végétale est comme un œuf. C’est un peu comme si on jouait une note très aigue qui briserait la coquille de cet œuf. Mais ce n’est pas du jaune et du blanc que nous offrent les végétaux mais des principes actifs, des enzymes, des vitamines, des minéraux, des acides aminés…  Tout ceci se retrouve dans l’eau de la cuve »

Ce processus se déroule à température ambiante qui ne dépasse jamais 30 degrés. Cette « extraction à froid » , qui permet de permet de préserver tous les principes bioactifs, est un processus très lent. Mais, après quelques heures de macération aqueuse, tout le précieux contenu végétal est extrait. 

« Concentrer » nos produits

A cette étape, l’extrait végétal est actif car il baigne dans un milieu propice à la préservation du vivant : une eau tempérée. Mais il est très dilué ! Il faut donc le concentrer. Pour ce faire, il faut évaporer l’eau. La méthode la plus commune consisterait à chauffer le liquide jusqu’à ébullition. Mais qu’arriverait-il si on faisait bouillir le jaune et le blanc d’un œuf. Ils coaguleraient ! Il en va de même pour les principes actifs, les enzymes, les vitamines, les acides aminés… de l’extrait végétal : ils seraient détruits par la chaleur.

Alors, PhytoQuant emploie une autre méthode pour concentrer ses extraits végétaux. Un condensateur à vide. L’extrait végétal est placé dans une enceinte où est créé un vide partiel. La température est inférieure à 30 degrés. Ceci fait baisser la pression de l’atmosphère de l’enceinte jusqu’au point auquel l’eau s’évapore à température ambiante !

La encore c’est un processus lent. Cette phase de concentration de l’extrait dure plus de 24 h ! Pour finir, on obtient des extraits très concentrés. En, moyenne le rapport est de 4 pour 1. Ce qui signifie que 4 kg de plantes sont concentrés dans 1 kg d’extrait final. Ces extraits aqueux concentrés n’ont jamais subi l’agression de solvants chimiques ou d’une chaleur excessive, si bien qu’ils sont d’une extrême qualité. 

Pas de chaleur ni de produit chimique, mais la musique silencieuse des ultrasons et de l’eau

Seul médium utilisé : celui du vivant, à savoir l’eau. Elle sert de véhicule, et récupère ce qu’il y a à l’intérieur des plantes pour le transmettre à l’eau de nos cellules. Le fait de ne jamais la chauffer nous permet de garder inaltérées toutes les vertus de la plante fraîche. N’importe qui comprend très aisément que manger des légumes frais est meilleur pour la santé que de manger des légumes déshydratés. Ceci parce qu’ils contiennent plus de vitamines et d’acides aminés qui sont détruits par la chaleur.

Pour illustrer son propos, le pharmacien prend l’exemple des jus d’orange. Que l’on presse une orange fraiche ou qu’un industriel le reconstitue à partir de poudre sucrée aromatisée, le nom reste le même : jus d’orange. Mais pour votre santé quel est jus le plus sain ? Sous l’appellation de complément alimentaire il va de même. Mais, il est impossible au consommateur de distinguer les différences.

Conclusion

Chez Phytoquant, cette exigence de qualité et cette conscience ont un prix. En effet, il faut compter, à minima, 8 jours entre la macération d’une plante dans la cuve à ultrasons et le produit fini. Parfois bien davantage ! Des process de fabrication quasi artisanaux et très qualitatifs, mais plus longs qu’un mode de production plus industriel, sont donc forcément plus coûteux. Un travail gigantesque, mais au final,  chacun au sein de cette entreprise humaine, du jardinier, à l’herboriste en passant par le livreur éprouve la fierté du travail bien fait !

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31 mars 2022 | Marie MELAYERS

Syndrome métabolique et traitement naturel

Le syndrome métabolique a été très à la mode il y a une dizaine d’années puis on en est revenu. Pourquoi un tel engouement et quelle est la raison de ce revirement ? Les critères du syndrome métabolique (ou polymétabolique dont l’acronyme est SPM qu’il ne faut pas confondre avec le syndrome prémenstruel) n’ont jamais fait l’unanimité et les scientifiques ont fini par abandonner le concept. Surtout qu’il y avait 2 écoles qui s’opposaient, les cardiologues d’un côté et les diabétologues de l’autre. Pourtant, la notion de syndrome métabolique nous a toujours paru intéressante à nous qui nous passionnons pour une médecine globale, intégrative et naturelle…

Syndrome métabolique et traitement naturel font-ils bon ménage ? Nous vous apportons quelques éléments de réponse dans cet article. Mais avant cela, tentons ensemble de mieux comprendre cette notion.

L’utilité du syndrome métabolique et des traitements naturels         

Nous pensons que la notion de syndrome métabolique peut être utilisée car c’est une merveilleuse façon de dépister des personnes à risque de maladies cardio-vasculaires ou de diabète. Et ce dépistage, bien avant l’installation d’une vraie maladie, n’est pas toujours intéressant pour des médecins car cela ne peut pas justifier l’emploi de médicaments chimiques puissants.

Mais pour les médecines naturelles, l’utilisation du concept de SPM permet de mettre en place une hygiène de vie adaptée et de prendre éventuellement des traitements naturels, bien avant qu’une pathologie soit définitivement installée, et ainsi retarder l’apparition de cette dernière voire l’éviter tout simplement !

Quels sont les critères du syndrome polymétabolique ?

Les critères du syndrome polymétabolique sont au nombre de cinq. Le principe est qu’il faut au moins trois critères en dehors des normes ci-dessous pour être « étiqueté » syndrome métabolique.

Le tour de taille

Les valeurs seuils varient entre les cardiologues et les diabétologues et nous vous proposons de retenir des valeurs simples : la norme est d’être au maximum à 90 cm chez la femme et 100 cm chez l’homme.

La Tension Artérielle (TA)

Là, tout le monde est d’accord pour dire que la normalité est : TA systolique inférieur à 130 et TA diastolique inférieur à 85. Ce critère est également considéré comme présent si la personne prend un traitement médicamenteux pour contrôler sa tension.

Les triglycérides

La norme des triglycérides est d’être inférieure à 1,5 g/L.

Le cholestérol HDL

Le cholestérol HDL (appelé parfois le “bon cholestérol”) est le seul critère positif. Cela veut dire que ce critère sera considéré comme anormal (ou présent) si le HDL est inférieur à 0,4 g/L chez l’homme et 0,5 g/L chez la femme.

La glycémie

La glycémie est l’autre critère qui oppose cardiologues et diabétologues. On retiendra que la norme est d’avoir une glycémie inférieure à 1,1 g/L.

Donc si une personne a trois critères au moins en dehors de ces normes, elle présente alors un SPM. Cela signifie qu’elle a un risque augmenté de développer une maladie cardio-vasculaire dans les 10 ans et qu’elle multiplie par deux le risque d’avoir un infarctus ou de décéder de maladie cardio-vasculaire par rapport à une personne sans SPM.

Rappelez-vous : si on prend chaque critère ci-dessus individuellement, il n’est pas considéré comme anormal et encore moins pathologique.

Appréhender le syndrome métabolique avec un traitement naturel

C’est quand on est capable de dépister très précocement un tel risque grâce à la conjonction de plusieurs critères que des approches naturelles permettent de réduire le risque de maladie. N’hésitez pas à en parler à votre médecin et faites-vous dépister afin de mettre en place une stratégie de prévention d’autant plus efficace qu’elle sera précoce.

Lutter contre les maladies cardio-vasculaires.

SPM et hygiène de vie           

Tout passe avant tout par les règles d’hygiène de vie et les approches naturelles. Ce qui peut expliquer que les allopathes aient un peu abandonné ces notions… Pour ce faire, il est nécessaire de corriger son alimentation avec plusieurs buts en tête :

  • Contrôler son poids voire perdre quelques kilos quand cela est nécessaire. C’est une des meilleures façons de réduire le tour de taille.
  • Réduire drastiquement la consommation de glucides et d’alcool, ce qui permet d’agir sur le poids mais aussi et surtout sur les triglycérides et la glycémie.
  • Consommer des légumes et fruits riches en antioxydants sans faire d’excès de fruits riches en sucres et s’orienter vers une alimentation de type méditerranéenne.
  • Consommer des oméga-3 essentiels pour la prévention cardio-vasculaire et la réduction du risque lié aux triglycérides.
  • Consommer du cholestérol le matin et faire des diners végétariens afin d’avoir un meilleur équilibre entre le HDL et le LDL cholestérol.
  • Réduire la consommation de sel pour limiter le risque d’hypertension.
  • Augmenter son activité physique qui est l’autre méthode pour contrôler son poids et réduire son tour de taille.
  • Réduire ou arrêter le tabac s’il existe un tabagisme.
  • Utiliser des compléments alimentaires et des plantes en fonction de ses besoins spécifiques et de son équilibre alimentaire.

La solution PhytoQuant pour associer syndrome métabolique et traitement naturel

Depuis la création de notre société, nous avons voulu proposer des compléments alimentaires pour aider nos clients à agir sur une des premières causes de mortalité : les maladies cardio-vasculaires. C’est pourquoi notre gamme est riche en produits pouvant être utilisés en cas de SPM.

En soignant le syndrome métabolique par un traitement naturel, nous donnons à notre organisme tous les nutriments nécessaires à une bonne santé. Parmi les compléments alimentaires recommandés dans le cadre d’un SPM, on retrouve :

  • Les solutions riches en Omega-3 naturels dont le rôle est de réduire les risques cardio-vasculaires.
  • Les complexes à base d’antioxydants et flavonoïdes qui interviennent également dans la prévention des maladies cardio-vasculaires.
  • Les compléments alimentaires naturels servant à rééquilibrer le bon et le mauvais cholestérol dans l’organisme.
  • Si nécessaire, il est également possible de compléter avec un traitement drainant à base de plantes détoxifiantes.
  • Enfin, le traitement naturel idéal pour anticiper un syndrome métabolique est une formule qui aide à contrôler la glycémie
Solution naturelle pour réguler la glycémie.

Découvrez Quantaglycémic, une solution pour traiter le syndrome métabolique naturellement 

Quantglycémic est un complexe de plantes qui agissent en synergie pour réduire la glycémie. La formule de ce nouveau produit est la suivante (pour 2 gélules) :                           

  • Lupin poudre de graine : 410 mg
  • Garcinia cambogia extrait sec de fruit : 123 mg (dont Acide hydroxycitrique : 73 mg)
  • Galéga extrait sec de sommité : 120 mg
  • Margose extrait sec de fruit : 82 mg
  • Cannelle poudre d’écorce : 82 mg
  • Chrome : 250 µg                              

Les actions de ce traitement naturel pour faire face au syndrome métabolique

  • Le Chrome est l’oligoélément qui permet un meilleur fonctionnement du pancréas et une meilleure réaction à l’insuline1.
  • Le Garcinia est probablement, grâce à sa teneur en hydroxycitrate, la plante la plus efficace sur la régulation de la glycémie. Elle est bien plus efficace sur ce critère que sur le poids contrairement à ce qu’essaye de faire croire certains distributeurs. Elle reste tout de même une des principales plantes du syndrome métabolique car elle s’oppose au stockage des graisses et va donc aider à maintenir un tour de taille normal2.
  • Le Lupin est utilisé traditionnellement dans de nombreux pays pour contrôler la glycémie. On a démontré récemment que cette action était liée en particulier à une molécule présente en abondance, la « gamma-conglutine »3.
  • La Margose ou momordique est moins connue et pourtant plusieurs travaux ont montré qu’elle permettait de réduire la glycémie chez les diabétiques4.
  • La Galéga est également une plante moins usitée. Elle présente des propriétés antidiabétiques bien établies, surtout quand elle s’accompagne de surpoids5.
  • La Cannelle possède de nombreuses propriétés. Elle est en particulier antidiabétique et permet de faire baisser la glycémie et l’hémoglobine glyquée6.

Quantaglycémic est donc une synergie naturelle qui sera utilisée aussi bien en cas de diabète débutant que de syndrome métabolique, afin d’aider les personnes à contrôler leur glycémie dans le cadre d’une démarche diététique personnalisée.

Compléments alimentaires naturels.

La posologie de Quantaglycémic

La posologie de Quantaglycémic est simple :

  • 1 gélule le midi et le soir avant le repas.
  • Si la prise du midi est oubliée, on pourra prendre les 2 gélules le soir.
  • En cas de résultat insuffisant, si les règles diététiques sont bien suivies, il sera possible de prendre une 3ème gélule le matin.

Voilà de quoi mettre en place une démarche de prévention si vous êtes concerné par ce syndrome métabolique ou si vous présentez un pré-diabète bien avant d’être réellement malade voire de faire un accident cardio-vasculaire laissant toujours des séquelles bien handicapantes.      

Traitement naturel pour soigner le syndrome métabolique.

 Sources :

1 Article sur le Chrome de Passeport santé

2 Page Wikiphyto sur le Garcinia

3 Nutrition, Metabolism & Cardiovascular Diseases

4 Article sur le Momordique de Passeport santé

5 Page Wikiphyto sur la Galéga

6 National Library of medecine : Khan A, Safdar M, Ali Khan MM, Khattak KN, Anderson RA. Cinnamon improves glucose and lipids of people with type 2 diabetes. Diabetes Care. 2003 Dec;26(12):3215-8.

Docteur Khodja, Phytoquant
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Renforcer les défenses immunitaires naturellement
21 mars 2022 | Marie MELAYERS

Renforcer son immunité naturellement

Nous espérions que l’été nous en débarrasserait. Mais force est de constater que le coronavirus est toujours présent. De nouveau, les services d’urgence accueillent des malades qui ont développé une forme grave de la covid19. Il y a fort à parier que de nouvelles mesures de confinement seront sans doute mises en place localement, nous rappelant de mauvais souvenirs. Mais, rassurez-vous, il y peu de chances que nous assistions au rush dramatique de mars/avril. D’une part, parce que les gestes barrière ralentissent la propagation du virus et, d’autre part, parce que la détection précoce et la prise en charge des malades ont beaucoup évolué depuis le printemps dernier. Mais, ce virus qui semblait avoir perdu son pouvoir de nuisance cet été tant les cas asymptomatiques et bénins se multipliaient, va tout de même faire de nouvelles victimes cet hiver. Comment s’y préparer ? Existe-t-il des solutions pour renforcer son immunité naturellement ? Pour répondre à ces questions, il est essentiel de comprendre comment les virus attaquent l’organisme et quelles sont les ressources dont celui-ci a besoin pour se défendre.

90% des infections qui nous affectent l’hiver (rhume, grippe, angine, gastro-entérites…) sont dues à des virus. Ceci par la conjugaison de deux facteurs. En premier lieu, la plupart de ces virus préfèrent un environnement froid et humide qu’un climat chaud et sec. C’est pourquoi, sous nos latitudes, la fin de l’automne et l’hiver sont la période idéale pour eux. D’autre part, et à contrario, c’est la période où nous-mêmes sommes plus sensibles aux virus. Parce qu’on boit moins, on consomme moins de fruits et de crudités, on a tendance à manger plus cuit, plus gras et plus sucré. En outre, il y a moins de soleil, il fait plus froid… Tout cela affaiblit nos défenses immunitaires contre les infections. Or, l’expérience récente nous l’a douloureusement démontré, les médicaments étant souvent impuissants à vaincre ces virus, la seule arme qui prémunit, combat et élimine efficacement les virus : c’est notre propre système immunitaire. Et c’est pendant les 3 mois d’automne qu’il faut le booster. Comment renforcer son immunité naturellement ? Il existe des solutions simples que notre pharmacien vous présente dans ce dossier.

Renforcer son immunité naturellement par le biais de l’alimentation

Bien évidemment, tout commence par une alimentation équilibrée. Et il convient de ne pas surcharger et encrasser l’organisme. Ce n’est surement pas par hasard, si les abus alimentaires des fêtes de fin d’année coïncident souvent avec une flambée des pathologies hivernales. Pour renforcer son immunité naturellement, il faut donc éviter les graisses cuites, les sucres rapides, les alcools, les plats et préparations industriels. Les laitages sont à éviter ou à réduire car ils sont source d’inflammations digestives. Or, un intestin sain, équilibré et imperméable est la clé de voute de notre système immunitaire…

Plat équilibré pour améliorer la santé.

L’importance des vitamines et minéraux

S’il faut se préserver des abus, il convient également d’éviter certaines carences. Or, l’hiver nous bénéficions de moins d’exposition au soleil (source de vitamine D) et nous mangeons moins de fruits et légumes frais et crus qui nous apportent beaucoup de vitamines et plus particulièrement de la vitamine C. Or, la vitamine D et la vitamine C sont toutes deux essentielles pour renforcer notre système immunitaire.

Renforcer son immunité naturellement avec la vitamine D

La vitamine D3 est synthétisée par notre peau sous l’effet des rayons du soleil. Mais les stocks produits au cours de l’été sont souvent épuisés quand arrive le mois de janvier. Or, la vitamine D joue un rôle essentiel pour éviter les rhumes, la grippe, et les infections ORL ou en diminuer la durée. Il existe clairement une relation entre les variations saisonnières des taux sanguins en vitamine D d’une population et le nombre et la gravité des pathologies infectieuses, en particulier des voies respiratoires.

En clair : en hiver, par manque de soleil, notre peau ne fabrique plus assez de vitamine D et donc nous sommes moins protégés contre les virus.

Pour pallier les carences, une supplémentation est très souvent nécessaire. C’est pour cela que notre laboratoire a développé un complément alimentaire qui intervient dans le renforcement naturel de l’immunité. 5 gouttes de QuantaVitD chaque jour vous garantit un statut en vitamine D3 équilibré et suffisant pour renforcer les défenses immunitaires contre les infections ORL hivernales.

L'importance de la vitamine D dans le renforcement du système immunitaire.

Booster le système immunitaire grâce à la vitamine C

L’une des vitamines les plus importantes contenues dans les fruits et légumes est la vitamine C. Elle intervient dans le bon fonctionnement de notre système immunitaire pour nous prémunir des infections hivernales. Ensuite pour nous donner de l’énergie et combattre la fatigue.

Comme nous ne la fabriquons pas nous-mêmes, il nous faut en consommer chaque jour. Les doses quotidiennes usuelles recommandées vont de 500 mg à 1 gramme de vitamine C par jour pour les adultes. De 200 à 500 mg maximum pour les enfants au-dessus de 10 ans, et jusqu’à 200 mg par jour maximum pour les enfants de 3 à 10 ans. Cependant, le mécanisme d’absorption intestinale de la vitamine C est saturé à partir de 200mg. Il faut donc en prendre plusieurs fois par jour pour atteindre les bonnes concentrations sanguines et renforcer son système immunitaire. Autre solution qui porte ses fruits : opter pour la vitamine C Liposomale.

Rôle du liposome.

Un liposome est une microbille dont la membrane est semblable à la paroi de nos cellules. On arrive aujourd’hui à emprisonner la vitamine C à l’intérieur de ces liposomes. On dit que la vitamine C est y « encapsulée ».

Une fois absorbé, le liposome, petite bille de lipides, n’est pas éliminé dans les urines mais transporté au sein des tissus. Là, comme il est de nature similaire à elle, le liposome traverse tout naturellement la membrane des cellules pour y délivrer la vitamine C.

Ainsi grâce aux liposomes, la vitamine C est mieux absorbée, puis transportée et libérée là où elle doit agir : au cœur même de vos cellules.

En plus des vitamines, certains minéraux et oligo-éléments et plus particulièrement le zinc, le sélénium et le fer jouent un rôle important dans l’immunité.

La vitamine C pour booster l'immunité.

Les produits de la nature : une solution naturelle pour renforcer son immunité

Bien évidemment, la nature fournit d’excellents alliés de notre système immunitaire. Découvrez-les ci-dessous.

L’échinacée, un booster naturel de l’immunité

Native d’Amérique, l’échinacée est la plante la plus efficace pour renforcer son immunité. Les Amérindiens l’utilisaient pour lutter contre les infections ORL. On en a retrouvé des graines, datant du XVIIème siècle, sur des sites fréquentés par les Sioux Lakotas, rendus célèbres par les chefs Sitting Bull et Crazy Horse. Les colons européens ont vite adopté ce remède. En 1950, l’échinacée faisait encore partie des ingrédients pharmaceutiques du Formulaire National des États-Unis avant de tomber en désuétude en raison de l’arrivée des antibiotiques. Mais contre les virus, les antibiotiques sont inutiles.

Les bienfaits des produits de la ruche pour renforcer l’immunité naturellement

La ruche est une source incroyable de nutriments qui aident à prévenir et à combattre les infections :

  • On y trouve la propolis qui est fabriquée par les abeilles à partir de résine et de cire pour colmater l’accès à la ruche. D’où son nom : propolis qui signifie « à l’entrée de la cité ». La propolis sert à empêcher les agents infectieux de pénétrer dans la ruche et contaminer les larves. La propolis a donc des vertus anti infectieuses puissantes.
  • On trouve également la gelée royale qui est le lait des abeilles. C’est avec ce lait qu’elles nourrissent les larves et la reine. La gelée royale offre des propriétés stimulantes et reconstituantes avec une action de prévention des infections. Mais pour cela, Il est indispensable que cette gelée soit fraîche et pure à 100% au moment de son utilisation. C’est exclusivement ce type de gelée royale, certificat d’origine et de qualité à l’appui, que nous utilisons chez PhytoQuant.
  • Le pollen aussi est un merveilleux nutriment de nos cellules, et en particulier celles de notre système immunitaire. Le pollen est d’ailleurs connu pour augmenter le dynamisme général et est traditionnellement conseillé chez les personnes fragiles ou convalescentes.
Produits de la ruche pour renforcer l'immunité.

Découvrez la Cure Renfort Immunité de PhytoQuant

La Cure Renfort Immunité

1 flacon de QuantaVitD + 2 boites de QuantaVitC + 1 boite de Quantastimmun

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Pour une action durable, il est conseillé de poursuivre la Cure Renfort Immunité pendant 3 mois.

Docteur Khodja, Phytoquant
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La vitamine C pour booster l'immunité
10 mars 2022 | Marie MELAYERS

En période de pandémie, la vitamine C fait ses preuves

C’est la rentrée. Nous espérions tous qu’elle nous apporterait un peu de légèreté et de liberté. Mais le futur est toujours incertain. Et sans doute pour plusieurs années. Or, il apparait que beaucoup de personnes, illusionnées par le mirage du totem d’immunité que confèrerait la vaccination, se relâchent. Dès lors, l’automne et l’hiver prochains pourraient se révéler tragiquement désenchanteurs. Il me tient à cœur de convaincre le plus grand nombre à ne pas baisser la garde et c’est mon devoir de vous aider à consolider vos défenses. Et votre premier rempart, c’est votre système immunitaire. De nouvelles études viennent de révéler l’intérêt extraordinaire de la vitamine C dans cette période de pandémie.

La vitamine C pour renforcer l’immunité

Bien sûr, la vitamine C renforce le système immunitaire. Mais elle possède également des vertus moins connues. C’est le plus puissant des antioxydants et elle possède des propriétés anti-inflammatoires, antivirales et antithrombotiques ! C’est dire combien elle peut être utile en cette période !

Mon ami Georges Scudeller, avec le soutien du GETCOP1, a publié une étude remarquable2 qui est parue dans la revue médicale HEGEL : « La vitamine C et le SARS COV-2 ». L’auteur nous fait découvrir que, dans certaines situations, des doses massives de vitamine C (6 à 24 g / 24h sous forme injectable, en milieu hospitalier) sont très utiles en cas d’atteintes graves. Et, il recommande la prise de 2 à 3 grammes de vitamine C par jour par voie orale en prophylaxie pour toutes les personnes à risque.

Vous le savez, la vitamine C liposomale permet à la fois une meilleure absorption intestinale de la vitamine C et sa pénétration au cœur des cellules. Pour suivre ces recommandations il est souvent nécessaire d’opter pour une supplémentation – soit une dose de 5 à 8 gélules de vitamine C par jour selon les cas. Pour être sûr de passer un automne en toute sécurité, 6 à 12 boites de QuantaVitC liposomale sont suffisantes.

En complément : la vitamine D pour lutter contre les virus de saison

L’autre vitamine indispensable est la vitamine D. Dès que l’ensoleillement baisse, et que nos vêtements couvrent notre corps, notre peau n’est plus en mesure de fabriquer de la vitamine D. Or, la vitamine D joue un rôle essentiel pour éviter les rhumes, la grippe, et les infections ORL ou en diminuer la durée. Dès l’automne, par manque de soleil, notre peau ne fabrique plus de vitamine D et donc nous sommes moins protégés contre les virus. Il nous faut donc nous procurer cette vitamine autrement. La forme la plus assimilable par l’homme est la vitamine D3, qui est la forme synthétisée et utilisée par les animaux.

Avec QuantaVitD, 5 gouttes chaque jour sont la garantie d’un statut en vitamine D3 équilibré et suffisant pour renforcer vos défenses immunitaires contre les infections ORL hivernales.

Nicola Frassanito

Références :

  1. GETCOP : Groupe d’Evaluation des Thérapies Complémentaires Personnalisées.
  2. Georges Scudeller – LA VITAMINE C ET LE SARS COV-2– ALN éditions Hegel – 2021/2 N°2 – DOI : 10.3917/heg.112.0132.
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Infections respiratoires
10 mars 2022 | Marie MELAYERS

Toux persistantes et difficultés respiratoires après une infection ORL

Phénomène aggravé par le tabagisme, la pollution, l’âge, le terrain personnel (antécédents d’asthme infantile par exemple), beaucoup d’infections respiratoires trainent en longueur. Ceci se traduit le plus souvent par une toux persistante, un essoufflement rapide, des difficultés à respirer (dyspnée), des coups de fatigue brutaux et accablants… pendant des semaines, voire des mois. Et cela peut même conduire à l‘apparition d’une maladie pulmonaire obstructive chronique qui se caractérise justement par un essoufflement, une toux chronique et une production accrue de mucosités. En 2020, ce type de maladie a touché près de 3,5 millions de Français et a été la 3ème cause de mortalité dans notre pays.

Pourquoi ?

Un agent pathogène – virus ou bactérie – qui pénètre dans nos voies respiratoires entraine une série de réactions de notre système immunitaire. La première est mécanique : l’organisme essaie de piéger l’intrus dans du mucus afin de l’expulser (éternuement, toux). La seconde, en parallèle, est biologique. Une multitude d’agents chimiques et de cellules se mobilisent pour empêcher le danger d’entrer dans l’organisme et tenter de le détruire avant qu’il ne nous nuise. C’est l’inflammation. Nez bouché, gorge et bronches obstruées…

Photographies représentant les symptômes des maladies des bronches.

En outre, l’agent pathogène lui-même et l’inflammation des tissus créent un stress oxydatif qui libèrent des radicaux libres destructeurs. Or, plus l’agent est pathogène (exemple pneumonie ou covid) plus la réaction inflammatoire immunitaire et le stress oxydatif sont intenses. Ce dernier aggrave la destruction des tissus broncho-pulmonaires et l’obstruction des voies respiratoires.

Que faire ?

Le plus précocement possible, il convient d’agir sur 3 axes :

  • Désencombrer les voies respiratoires des mucosités.
  • Réduire l’inflammation des tissus afin de les réparer et de faciliter la respiration.
  • Recourir à des antioxydants puissants pour piéger les radicaux libres avant qu’ils ne commencent à attaquer les tissus parenchymateux pulmonaires.

A quoi recourir ?

QuantaPulmo pour soigner les bronchites naturellement.

La crise sanitaire actuelle nous rappelle combien la médecine reste démunie face aux infections virales ORL et à leurs complications.

S’il n’existe pas de traitement miracle, on peut toutefois soutenir l’organisme en lui procurant, au plus tôt, des outils naturels de réparation et de récupération.

PhytoQuant en a sélectionné et réuni 5 dans son nouveau produit : QuantaPulmo. Pour une triple action : contre les mucosités, antiinflammatoire et antioxydante.

1. La NAC (N-acétylcystéine ou Acétylcystéine)

La NAC est un acide aminé soufré qui est utilisé soit comme médicament soit en tant que complément alimentaire. En pneumologie, l’acétylcystéine est utilisée contre les toux grasses grâce à son action mucolytique. En effet, la NAC possède la capacité de rompre le maillage des mucosités bronchiques, ce qui les liquéfie et facilite leur expectoration. Elle est aussi utilisée en cas d’intoxication du foie par le paracétamol.

Formule de la NAC

Car, la NAC est un précurseur du glutathion : un très puissant antioxydant que fabrique notre corps. Mais, avec l’âge nous perdons de notre capacité à produire suffisamment de glutathion. Or, ce dernier protège nos cellules et nos tissus des radicaux libres nocifs. Comme ceux produits, par exemple, lors d’une intoxication au paracétamol. Ces propriétés – antioxydante et mucolytique – ont toutes deux leur intérêt en cas d’affection respiratoire aigüe ou chronique. Elles permettent d’évacuer les mucosités et de protéger les tissus pulmonaires et bronchiques du stress oxydatif.

2. La Quercétine

Formule de la Quercétine.

Bien qu’on soit loin de tout connaître à son sujet, la Quercétine dispose de propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires et antihistaminiques (antiallergiques).

La Quercétine est un flavonoïde qui se trouve dans les câpres, les choux ou l’oignon rouge. Nous avons choisi d’extraire notre Quercétine du Sophora du Japon. Tout comme le glutathion, c’est un puissant antioxydant qui bloque les radicaux libres avant qu’ils ne détruisent les tissus des voies respiratoires.

3. La Broméline (ou Bromélaïne)

La Broméline est constituée d’un groupe d’enzymes présentes dans l’ananas (Ananas comosus).

Ananas riche en Broméline.

La broméline est une enzyme protéolytique. C’est-à-dire qui possède le pouvoir de découper les protéines en brisant les liens entre les acides aminés qui les composent. C’est ce qui explique l’usage de la Broméline contre les œdèmes et les inflammations (abcès, angine…). Contrairement à d’autres enzymes qui sont dégradées dans le système digestif, la broméline est partiellement absorbée par l’organisme et passe dans le sang. C’est pourquoi, au niveau général, elle inhiberait la production des prostaglandines qui causent l’inflammation et aurait un effet bénéfique sur le système immunitaire. Toutefois, les mécanismes de son action thérapeutique ne sont pas totalement clarifiés.

4. L’Origan

Feuilles d'origan pour apaiser la toux.

L’Origan est une plante riche en essence aromatique (composée de thymol et de carvacrol), reconnue traditionnellement pour son action contre l’inflammation aiguë et chronique des bronches. Expectorante, elle est aussi sédative de la toux et constitue un excellent accompagnement des maladies des voies respiratoires.

5. Le Thym

Branche de thym pour apaiser les infections pulmonaires.

Le Thym est un puissant antiseptique et un stimulant de l’immunité.

C’est la plante incontournable des troubles respiratoires. Ses actifs balsamiques sont reconnus pour leurs propriétés expectorantes et antitussives.

Quand utiliser QuantaPulmo ?

En cas d’infections respiratoires ou de séquelles de maladies broncho-pulmonaires. En présence d’une toux grasse persistante et/ou de difficultés respiratoires liées à l’âge, à des antécédents d’asthme ou de tabagisme.

Comment utiliser QuantaPulmo ?

En début d’infection : prendre 2 gélules aux 3 repas pendant 3 à 6 jours.

En cure de fond : prendre 1 à 2 gélules, aux repas, midi et soir.

Boite de 60 gélules végétales sous blister.

QuantaPulmo est réservé à l’adulte et aux enfants de plus de 12 ans.

Son usage est déconseillé aux femmes enceintes.

En complément : pensez à QuantaRub

Nous l’avons vu, les mucosités bronchiques et l’inflammation chronique obstruent les voies respiratoires. QuantaRub est une pommade pectorale qui a été formulée pour assainir, décongestionner et faciliter la respiration au cours des affections ORL, accompagnées ou non de toux. Pour ce faire, QuantaRub combine 8 extraits végétaux aromatiques :

Les plantes qui soignent le rhume.
QuantaRub, une solution naturelle contre le rhume.
  • Des macérats huileux concentrés de clou de Girofle (antiseptique et anesthésiant des quintes de toux) et de résine de Boswellia (utilisée en médecine ayurvédique contre l’asthme et les bronchites).
  • Des huiles essentielles d’Eucalyptus globuleux (antiseptique et bronchodilatatrice) et de Wintergreen (qui apaise et dégage les voies respiratoires).
  • Des cristaux de Menthol (antiseptique), Camphre (décongestionnant et mucolytique) et de résine de Bornéol (analgésique).

Utilisable dès l’âge de 6 ans, QuantaRub est votre allié en situation de :

  • Toux grasse, bronchite…
  • Rhume, rhinite, rhinopharyngite, sinusite, états grippaux.

En outre, son application procure un effet chauffant bienfaisant.

Frédéric Khodja, pharmacien
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