Phénomène aggravé par le tabagisme, la pollution, l’âge, le terrain personnel (antécédents d’asthme infantile par exemple), beaucoup d’infections respiratoires trainent en longueur. Ceci se traduit le plus souvent par une toux persistante, un essoufflement rapide, des difficultés à respirer (dyspnée), des coups de fatigue brutaux et accablants… pendant des semaines, voire des mois. Et cela peut même conduire à l‘apparition d’une maladie pulmonaire obstructive chronique qui se caractérise justement par un essoufflement, une toux chronique et une production accrue de mucosités. En 2020, ce type de maladie a touché près de 3,5 millions de Français et a été la 3ème cause de mortalité dans notre pays.

Pourquoi ?

Un agent pathogène – virus ou bactérie – qui pénètre dans nos voies respiratoires entraine une série de réactions de notre système immunitaire. La première est mécanique : l’organisme essaie de piéger l’intrus dans du mucus afin de l’expulser (éternuement, toux). La seconde, en parallèle, est biologique. Une multitude d’agents chimiques et de cellules se mobilisent pour empêcher le danger d’entrer dans l’organisme et tenter de le détruire avant qu’il ne nous nuise. C’est l’inflammation. Nez bouché, gorge et bronches obstruées…

Photographies représentant les symptômes des maladies des bronches.

En outre, l’agent pathogène lui-même et l’inflammation des tissus créent un stress oxydatif qui libèrent des radicaux libres destructeurs. Or, plus l’agent est pathogène (exemple pneumonie ou covid) plus la réaction inflammatoire immunitaire et le stress oxydatif sont intenses. Ce dernier aggrave la destruction des tissus broncho-pulmonaires et l’obstruction des voies respiratoires.

Que faire ?

Le plus précocement possible, il convient d’agir sur 3 axes :

  • Désencombrer les voies respiratoires des mucosités.
  • Réduire l’inflammation des tissus afin de les réparer et de faciliter la respiration.
  • Recourir à des antioxydants puissants pour piéger les radicaux libres avant qu’ils ne commencent à attaquer les tissus parenchymateux pulmonaires.

A quoi recourir ?

QuantaPulmo pour soigner les bronchites naturellement.

La crise sanitaire actuelle nous rappelle combien la médecine reste démunie face aux infections virales ORL et à leurs complications.

S’il n’existe pas de traitement miracle, on peut toutefois soutenir l’organisme en lui procurant, au plus tôt, des outils naturels de réparation et de récupération.

PhytoQuant en a sélectionné et réuni 5 dans son nouveau produit : QuantaPulmo. Pour une triple action : contre les mucosités, antiinflammatoire et antioxydante.

1. La NAC (N-acétylcystéine ou Acétylcystéine)

La NAC est un acide aminé soufré qui est utilisé soit comme médicament soit en tant que complément alimentaire. En pneumologie, l’acétylcystéine est utilisée contre les toux grasses grâce à son action mucolytique. En effet, la NAC possède la capacité de rompre le maillage des mucosités bronchiques, ce qui les liquéfie et facilite leur expectoration. Elle est aussi utilisée en cas d’intoxication du foie par le paracétamol.

Formule de la NAC

Car, la NAC est un précurseur du glutathion : un très puissant antioxydant que fabrique notre corps. Mais, avec l’âge nous perdons de notre capacité à produire suffisamment de glutathion. Or, ce dernier protège nos cellules et nos tissus des radicaux libres nocifs. Comme ceux produits, par exemple, lors d’une intoxication au paracétamol. Ces propriétés – antioxydante et mucolytique – ont toutes deux leur intérêt en cas d’affection respiratoire aigüe ou chronique. Elles permettent d’évacuer les mucosités et de protéger les tissus pulmonaires et bronchiques du stress oxydatif.

2. La Quercétine

Formule de la Quercétine.

Bien qu’on soit loin de tout connaître à son sujet, la Quercétine dispose de propriétés antioxydantes, anti-inflammatoires et antihistaminiques (antiallergiques).

La Quercétine est un flavonoïde qui se trouve dans les câpres, les choux ou l’oignon rouge. Nous avons choisi d’extraire notre Quercétine du Sophora du Japon. Tout comme le glutathion, c’est un puissant antioxydant qui bloque les radicaux libres avant qu’ils ne détruisent les tissus des voies respiratoires.

3. La Broméline (ou Bromélaïne)

La Broméline est constituée d’un groupe d’enzymes présentes dans l’ananas (Ananas comosus).

Ananas riche en Broméline.

La broméline est une enzyme protéolytique. C’est-à-dire qui possède le pouvoir de découper les protéines en brisant les liens entre les acides aminés qui les composent. C’est ce qui explique l’usage de la Broméline contre les œdèmes et les inflammations (abcès, angine…). Contrairement à d’autres enzymes qui sont dégradées dans le système digestif, la broméline est partiellement absorbée par l’organisme et passe dans le sang. C’est pourquoi, au niveau général, elle inhiberait la production des prostaglandines qui causent l’inflammation et aurait un effet bénéfique sur le système immunitaire. Toutefois, les mécanismes de son action thérapeutique ne sont pas totalement clarifiés.

4. L’Origan

Feuilles d'origan pour apaiser la toux.

L’Origan est une plante riche en essence aromatique (composée de thymol et de carvacrol), reconnue traditionnellement pour son action contre l’inflammation aiguë et chronique des bronches. Expectorante, elle est aussi sédative de la toux et constitue un excellent accompagnement des maladies des voies respiratoires.

5. Le Thym

Branche de thym pour apaiser les infections pulmonaires.

Le Thym est un puissant antiseptique et un stimulant de l’immunité.

C’est la plante incontournable des troubles respiratoires. Ses actifs balsamiques sont reconnus pour leurs propriétés expectorantes et antitussives.

Quand utiliser QuantaPulmo ?

En cas d’infections respiratoires ou de séquelles de maladies broncho-pulmonaires. En présence d’une toux grasse persistante et/ou de difficultés respiratoires liées à l’âge, à des antécédents d’asthme ou de tabagisme.

Comment utiliser QuantaPulmo ?

En début d’infection : prendre 2 gélules aux 3 repas pendant 3 à 6 jours.

En cure de fond : prendre 1 à 2 gélules, aux repas, midi et soir.

Boite de 60 gélules végétales sous blister.

QuantaPulmo est réservé à l’adulte et aux enfants de plus de 12 ans.

Son usage est déconseillé aux femmes enceintes.

En complément : pensez à QuantaRub

Nous l’avons vu, les mucosités bronchiques et l’inflammation chronique obstruent les voies respiratoires. QuantaRub est une pommade pectorale qui a été formulée pour assainir, décongestionner et faciliter la respiration au cours des affections ORL, accompagnées ou non de toux. Pour ce faire, QuantaRub combine 8 extraits végétaux aromatiques :

Les plantes qui soignent le rhume.
QuantaRub, une solution naturelle contre le rhume.
  • Des macérats huileux concentrés de clou de Girofle (antiseptique et anesthésiant des quintes de toux) et de résine de Boswellia (utilisée en médecine ayurvédique contre l’asthme et les bronchites).
  • Des huiles essentielles d’Eucalyptus globuleux (antiseptique et bronchodilatatrice) et de Wintergreen (qui apaise et dégage les voies respiratoires).
  • Des cristaux de Menthol (antiseptique), Camphre (décongestionnant et mucolytique) et de résine de Bornéol (analgésique).

Utilisable dès l’âge de 6 ans, QuantaRub est votre allié en situation de :

  • Toux grasse, bronchite…
  • Rhume, rhinite, rhinopharyngite, sinusite, états grippaux.

En outre, son application procure un effet chauffant bienfaisant.

Frédéric Khodja, pharmacien