Le corps humain est une machine fantastique. Nous avons été créés pour fonctionner avec comme carburant : une alimentation variée et naturelle. C’est pour cela que nous sommes omnivores. Nous mangeons de tout. C’est dans cette variété que nous retrouvons tous les éléments nutritifs indispensables pour que toutes les réactions physiologiques se fassent, dans les meilleures conditions, pour que notre corps fonctionne de façon optimale.  Mais, variété ne suffit pas. Il est indispensable aussi que notre alimentation soit naturelle. Car, nous sommes programmés pour ne reconnaitre et n’utiliser que des molécules naturelles issues des mondes végétal, animal et minéral dont nous sommes issus.  Les molécules de synthèse chimique agressent notre système immunitaire et nous fragilisent à long terme, viennent surcharger notre foie, nous empoisonnent, se fixent sur nos gènes et se transmettent donc de générations en générations.

La finalité – ou du moins la conséquence – est la dégénérescence de l’espèce humaine. Sur ce sujet, je vous conseille l’excellent livre de Gilles Eric Seralini « Le sursis de l’espèce humaine ».

Vous n’imagineriez pas de mettre du gazole dans une Ferrari ? Pourquoi ne portons-nous pas la même attention à notre corps ? Je le répète : nous avons besoin d’une alimentation équilibrée et naturelle. Depuis la nuit des temps, c’est notre fonctionnement et même si dans le passé, les hommes ont connu des périodes de famines et de disettes, les aliments étaient suffisamment riches en éléments nutritifs, vitamines et minéraux, pour que le corps fonctionne dans les meilleures conditions.

Le modernisme, les techniques de cultures intensives, les engrais, les pesticides, les OGM, la pollution… ont appauvri la valeur nutritive de notre nourriture. Aujourd’hui, nous le savons tous, nos aliments sont carencés. Nous savons qu’une pomme d’aujourd’hui n’a plus la même valeur nutritive qu’une pomme d’antan. Mon ami, le Regretté Professeur Jean Robert Rapin, Pharmacologue de son état et père de la chrono-nutrition, m’expliquait : « Si nous voulions, aujourd’hui, via notre alimentation moderne, disposer d’assez d’éléments nutritifs, de vitamines et de minéraux, pour que toutes les réactions enzymatiques nécessaires au bon fonctionnement de notre organisme se produisent, il faudrait manger 4 à 5 fois plus ! Et quand bien même, cela ne suffirait sans doute pas… »
Imaginez que nous devions manger 4 à 5 fois plus ! Premièrement, ce n’est pas possible et si c’était possible imaginez tous les problèmes que cela engendrerait.
Nous sommes déjà une génération avec beaucoup de problèmes d’obésité : manger plus augmenterait ces problèmes d’obésité. Nous savons aussi que c’est à cause de ces problèmes de surpoids que surviennent la plupart des maladies graves comme : les maladies cardio-vasculaires, le diabète, la tension artérielle, le cancer et j’en passe.

C’est parce que notre alimentation est pauvre et carencée en éléments nutritifs actifs que nous sommes donc obligés de la pallier avec un apport de substances naturelles et nutritives extérieure. C’est là, le rôle des compléments alimentaires. Comme leur nom l’indique, ils viennent en compléments de l’alimentation. Ce qui, au passage, souligne que celle-ci est vide de toute substance.

Comme notre carburant c’est alimentation, nous devons manger tous les jours. Et, puisque nous mangeons tous les jours, nous devons pallier nos carences alimentaires tous les jours, et donc prendre des compléments alimentaires, avec des nutriments naturels et non pas de synthèse, en continu. C’est aussi simple que cela.

Prenons l’exemple du magnésium. 9 personnes sur 10 en France sont en carence de magnésium. Le magnésium et le cofacteur de plus de 300 réactions enzymatiques dans notre organisme. Cette seule carence entraine une cascade de défaillances et de carences physiologiques. Car, par manque de magnésium, notre corps produit moins de substances physiologiques importantes et assimile moins bien les autres nutriments essentiels. Toute supplémentation devrait donc systématiquement associer du magnésium.

Quantamag

Si vous êtes conscient de cela, vous comprenez bien que l’investissement prioritaire doit être fait pour vous-même, pour votre santé, pour votre équilibre, votre futur. Les vôtres et ceux de vos proches.

Ne pensez-vous pas que vous le valez bien ?

 
Nicola Frassanito